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La longue impunité de Malika, la "marraine" des djihadistes belges et français
information fournie par Le Point 28/12/2015 à 12:33

Après le 11 septembre 2001, rares étaient ceux qui osaient glorifier Oussama Ben Laden. Née à Tanger en 1959, arrivée en Belgique enfant avec sa famille, Malika el-Aroud, elle, n'a jamais renié le fondateur d'Al-Qaïda. Son mari, Abdessatar Dahmane, un Tunisien installé en Belgique, est l'un des deux assassins du commandant Massoud, le 9 septembre 2001, à Khodja Bahauddhin, un village poussiéreux du nord de l'Afghanistan. "Massoud, c'était le diable ! Un mauvais musulman ! Notre ennemi, l'ennemi des talibans, l'ennemi d'Oussama Ben Laden", déclarait-elle. Après le "sacrifice" de son mari, Malika, qui vivait à Jalalabad, en Afghanistan, avait été félicitée par les plus hauts dignitaires d'Al-Qaïda, et, dit-on, par Ben Laden en personne.

En 2002, la journaliste belge Marie-Rose Armesto avait raconté dans le livre Son mari a tué Massoud , le parcours de cette jeune femme qui, au départ, n'avait guère d'attirance pour l'islam, et multipliait les expériences conjugales, souvent malheureuses. Malika publie de son côté, à compte d'auteur, Les Soldats de lumière , où elle décrit le djihad comme un combat perpétuel. "Je sais qu'il existera d'autres soldats de lumière pour se lever et prendre le relais. (?) Ils accourront à nouveau sur les champs de bataille pour secourir leurs frères? jusqu'à la fin des temps ils seront présents Inch'a Allah"

Propagande djihadiste

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