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La fête nationale du 14 Juillet vue du ciel
information fournie par Le Point 15/07/2014 à 09:12

On ne survole pas Paris en Airbus A400M Atlas un 14 juillet sans une sérieuse préparation. Le temps passé par l'équipage en briefings météo ou opérations puis, à bord, pour entrer les paramètres de vol dépasse largement le temps de vol lui-même d'Orléans à Paris et le retour. Deux répétitions en vol ont eu lieu avant la fête nationale. L'une au-dessus de la base de Châteaudun dès le 23 juin, puis le 9 juillet au-dessus de Paris.

Premier objectif ce lundi matin, rallier un point virtuel près de Neuilly-en-Vexin pour entrer dans le circuit d'attente n° 2, celui attribué à l'Atlas mais aussi à l'Hercules qui a également décollé de la base 123 d'Orléans-Bricy. Dans ce même hippodrome, 150 mètres plus haut, tournent aussi un Transall et deux Casa, des avions de transport plus petits. On comprend pourquoi le respect de l'altitude de toute l'armada est essentiel. La check-list a lieu en anglais entre le commandant de bord, le lieutenant-colonel Olivier Luneau, et le pilote, le capitaine Cedric Segard : c'est la norme. Idem pour les contacts radio avec les tours de contrôle et même le PC du 14 juillet au sommet de l'Arc de triomphe.

9 heures. Une inquiétude au décollage de Bricy : à deux reprises, des concentrations d'oiseaux croisent la trajectoire de l'A400M. Pas de perte de puissance sur les moteurs ni d'impact identifié sur les énormes turbines. Mais une grosse tache de sang sur un pylône de moteur montre qu'un volatile n'y a pas...

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