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Irles : « Se faire virer, c'est prendre un uppercut »
information fournie par So Foot 25/11/2023 à 00:47

Irles : « Se faire virer, c'est prendre un uppercut »

Irles : « Se faire virer, c'est prendre un uppercut »

Écarté de son poste d’entraîneur principal à Troyes il y a plus d’un an, Bruno Irles est aujourd’hui à la recherche d’un nouveau projet, ce qui fait de lui un candidat parfait pour répondre à une question : que fait, au juste, un entraîneur entre deux postes ?

Il y a un peu plus d’un an, le 8 novembre 2022, l’ESTAC annonçait votre mise à pied et votre éviction du poste d’entraîneur du club. Comment l’aviez-vous appris et comment aviez-vous encaissé cette annonce ?

Déjà, le moment est violent, car votre quotidien est chamboulé du jour au lendemain. Avec du recul, le contexte qui était le mien à Troyes n’était pas forcément favorable, mais bon, quand vous êtes entraîneur, vous le savez : la vie n’est pas rose. Ça peut être lié aux résultats, à des tensions en interne, mais tous les éléments ne roulent jamais parfaitement bien et on sait très bien qu’on ne signe pas un CDI. Maintenant, même si on a tout ça en tête, le moment où tout s’arrête reste violent. J’ai été convoqué dans la foulée d’un derby contre Auxerre (1-1), où on se fait rejoindre à cinq minutes de la fin, et j’avoue que je ne m’attendais pas deux jours plus tard à être reçu par le directeur sportif. Ce n’était pas un piège, mais il m’a dit quelque chose comme : « Tiens, rejoins-moi… » Et il y avait le président. Finalement, c’était un entretien avec les deux pour me dire que c’était terminé. Normalement, deux heures plus tard, je devais diriger une séance d’entraînement.…

Propos recueillis par Maxime Brigand pour SOFOOT.com

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