Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de courtage
Découvrir Boursomarkets
Fermer

François Hollande répond à la droite sur le thème de la sécurité
information fournie par Reuters 19/07/2016 à 19:04

HOLLANDE RÉPOND À LA DROITE SUR LA SÉCURITÉ DES FRANÇAIS

HOLLANDE RÉPOND À LA DROITE SUR LA SÉCURITÉ DES FRANÇAIS

LISBONNE (Reuters) - François Hollande a répondu mardi aux critiques de la droite sur sa capacité et celle du gouvernement à protéger les Français des attaques à caractère terroriste, tout en expliquant que le risque était présent quelles que soient les mesures de protection engagées.

"Certains nous disent : mieux vaudrait ne plus avoir d'Etat de droit et être en liberté. Mais nous n'aurions ni la liberté ni l'Etat de droit et nous aurions toujours le terrorisme", a déclaré le président de la République à l'ambassade de France au Portugal, à Lisbonne.

"Que signifierait être la France si nous cédions à nos libertés, à nos principes, à notre ordre constitutionnel et à commencer par la Constitution française", s'est-il interrogé.

Après l'attaque qui a fait 84 morts à Nice le 14 juillet, François Hollande a ajouté que son "devoir" était de protéger les Français.

"Je dois assurer cette protection, même s'il y aura toujours des risques", a-t-il dit. "Qui peut imaginer que déployant autant de forces, mettant autant de moyens, il n'y aura pas toujours une menace ? La menace elle est là."

Les Français "doivent vivre et montrer cette capacité de résistance, cette conviction que nous sommes la France et que nous ne mettons pas un genou à terre alors même que l'on veut nous frapper", a-t-il encore déclaré.

François Hollande a évoqué mardi avec les dirigeants portugais les réformes qui doivent être examinées par les Européens en septembre, notamment dans les domaines de la sécurité. Il fera de même jeudi à Dublin.

Avec la relance de l'économie, l'investissement et la jeunesse, la protection des Européens a été affirmée comme

priorité pour l'Europe après le vote des Britanniques en faveur de la sortie du Royaume-Uni de l'Union le 23 juin.

(Jean-Baptiste Vey, édité par Yves Clarisse)

3 commentaires

  • 19 juillet 19:43

    Il est grand temps de désigner la 5è colonne et de s'en séparer par des moyens "adaptés", même s'ils heurtent la "sensibilité" de certains "socialo-angélistes" et en particulier celle de ce "président" d'opérette. Assez de baratin, des actes. L'avenir de nos enfants est à ce prix


Signaler le commentaire

Fermer