Laurent Joffrin dans Libération "Co-inventeurs de la démocratie, les Américains n'aiment pas les rois. Mais ils adorent les dynasties. Après avoir adulé les Roosevelt et les Kennedy, ils pourraient bien arbitrer dans la prochaine élection présidentielle entre deux héritiers de clans qui dominent leur vie politique depuis plus de vingt ans : les Bush et les Clinton. Hillary, femme de, et Jeb, frère de, ont une bonne chance de représenter leur parti en novembre 2016. Certains diront qu'entre une démocrate centriste et un républicain plutôt pragmatique, la différence est mince et que tout se jouera sur la mine des candidats. Ils se trompent. Il n'y a pas plus idéologique que la vie politique américaine [...]"Philippe Waucampt dans Le Républicain lorrain "[...] Fini, les grands meetings et les certitudes assénées avec l'arrogance de celle qui, en 2008, avait déjà gagné d'avance. On sait que la campagne de Hillary Clinton sera une campagne de proximité, placée sous le signe de l'écoute et de l'humilité. À charge pour ses sympathisants de la seconder avec l'efficacité impitoyable qui, par le porte-à-porte et le biais des réseaux sociaux, valut ses deux victoires à Barack Obama."Olivier Pirot dans La Nouvelle République du Centre-Ouest "[...] Son plus grand handicap, peut-être, sera justement de succéder à un autre démocrate installé depuis deux mandats à la Maison-Blanche et qui a incarné un espoir...
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