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EDF, le coup de la panne
information fournie par So Foot 24/03/2024 à 00:42

EDF, le coup de la panne

EDF, le coup de la panne

Baladée nettement, à Lyon, ce samedi soir, l'équipe de France n'a jamais su allumer la lumière sans Antoine Griezmann.

Il n’y avait pas grand mystère, la première salve de changements de la soirée ayant servi de répétition générale, mais à 22h51, ce samedi soir, le public du Groupama Stadium a bouclé sa soirée comme il avait pris l’habitude de le faire à la fin 2023 : en sortant des seaux de sifflets. Pour la deuxième fois en l’espace de six mois, l’Allemagne aura donc encore dompté les Bleus, mais ce tout premier revers de 2024, subi à la première virée, a été bien plus net que celui vécu à Dortmund, au début de la saison. Cette fois, la bande de Nagelsmann a su offrir à l’équipe de France, favorite désignée du prochain Euro que les Allemands vont organiser dans leur jardin, une leçon d’intensité, de variété et même, sur plusieurs périodes de la rencontre, d’agressivité. Comment l’expliquer ? Par la simple absence d’Antoine Griezmann ? Trop simple, bien sûr. Par le fait que sur l’intégralité de la rencontre, la voie bleue unique sur le plan offensif aura été de trouver le plus vite possible Kylian Mbappé et d’attendre qu’il enchaîne les centres – personne n’en a tenté plus que le capitaine français – à destination de joueurs moins à l’aise que lui dans la surface ? Trop réducteur, aussi, même si la bien trop grande lisibilité du jeu français a évidemment été un problème central.

Alors, quoi ? « On n’a simplement pas su se hisser à la hauteur du très grand match qu’a proposé l’Allemagne, a répondu en conférence de presse Didier Deschamps, qui a, au passage, avancé à plusieurs reprises l’argument mystérieux que son équipe était incapable, samedi soir, de proposer physiquement un autre match. On peut parler de plein d’éléments, mais on n’a pas mis ce qu’il fallait, comme on dit. Est-ce qu’on en était capable ? On peut se poser la question, pour différentes raisons. Je ne veux pas m’en servir comme excuse, mais le groupe est arrivé très fatigué et je n’ai pas voulu prendre de risques avec certains. On aura réagi que par intermittences. Il vaut mieux vivre ce type de match aujourd’hui que dans trois mois, mais je m’en serai bien passé. »…

Par Maxime Brigand, au Groupama Stadium pour SOFOOT.com

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