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Cette gauche qui se voit mourir
information fournie par Le Point 17/06/2014 à 14:20

Il y a quinze jours, Manuel Valls confiait à un ami parlementaire, à propos de la fronde d'une partie des députés socialistes : "Tout ça se finira en scission, la clarification ira au bout." Samedi, à la tribune du conseil national du PS, le Premier ministre a dit son inquiétude en d'autres termes, encore plus limpides : "Oui, la gauche peut mourir", précisant : "Nous sentons bien que nous sommes arrivés au bout de quelque chose, au bout peut-être même d'un cycle historique pour notre parti." Un ministre de son gouvernement livre une analyse très politique de cette sortie aux accents dramatiques : "Pour Valls, c'est une façon de se mettre au centre du jeu. Si la gauche peut mourir, alors il faut un Zorro pour la sauver", nous assure-t-il. "Gauche nihiliste et destructrice"Ce lundi matin, jour de l'épreuve de philo au bac, alors que les candidats se demandaient s'il suffisait d'avoir le choix pour être libre ou s'il fallait tout faire pour être heureux, nous avons demandé aux dirigeants socialistes si la gauche pouvait mourir. "Oui !" répond sans hésiter le député de Paris Christophe Caresche, l'un des chefs de file des réformateurs, en accord avec la politique menée par l'exécutif. "Ça en prend le chemin. Il y a deux lignes à gauche de moins en moins réconciliables. Soit on reste enfermés dans une gauche radicale qui refuse le changement et la mondialisation, soit on assume pleinement les contraintes du pouvoir et la place de la France...

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13 commentaires

  • 18 juin 08:35

    tiens, je vois que mes idées font leur chemin... plus aucune subvention aux zassoces ! ET statut fiscal de droit commun, elles doivent se donner les moyens de vivre, ou... disparaître !


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