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14 juillet : les dix secrets de la Marseillaise
information fournie par Le Point 14/07/2015 à 08:01

Née dans les vapeurs d'alcool

Au printemps 1792, la France entre en guerre contre l'Autriche, il faut galvaniser les troupes. Le maire de Strasbourg, le baron de Dietrich, réunit plusieurs officiers et mondains pour une soirée d'adieux où l'on porte toast sur toast. Il demande soudain au jeune capitaine Rouget de Lisle, fou de musique, de composer un air entraînant pour galvaniser le c?ur des soldats. Impossible de se récuser, l'officier doit se mettre rapidement au travail...

Écrit à plusieurs mains

Rouget de Lisle planche sur le projet, notamment à partir de l'affiche placardée par le maire dans les rues de Strasbourg : « Aux armes, citoyens ! L'étendard de la guerre est déployé, le signal est donné... Qu'ils tremblent, ces despotes couronnés. Marchons ! » Ses talents de compositeur étant limités, on suppose qu'il a obtenu l'aide d'autres musiciens, dont l'épouse du maire, Mme de Dietrich, qui joue du clavecin. Il aurait pu s'inspirer également de quelques mélodies du 25e concerto pour piano de Mozart, un comble puisqu'on part combattre justement le Saint-Empire romain-germanique où ce dernier a vu le jour !

OPA des Marseillais

Joué pour la première fois à Strasbourg, le « Chant de guerre de l'armée du Rhin » est rapidement recopié. Un délégué de Montpellier le chante aux volontaires marseillais,...

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