Dans son quartier, au nord de Bagdad, il n’y a pas d’école, les ordures jonchent le sol et les routes sont dans un état déplorable. Les services publics sont inexistants. "On ne veut plus de gouvernement, il doit partir", conclut Khadoum.
Les chauffeurs de "tuk-tuk", précieux alliés des manifestants irakiens
Dans son quartier, au nord de Bagdad, il n’y a pas d’école, les ordures jonchent le sol et les routes sont dans un état déplorable. Les services publics sont inexistants. "On ne veut plus de gouvernement, il doit partir", conclut Khadoum.