((Traduction automatisée par Reuters, veuillez consulter la clause de non-responsabilité https://bit.ly/rtrsauto))
(Ajoute des détails sur le lock-out) par Divya Rajagopal
Le syndicat des débardeurs de Montréal a rejeté la dernière offre faite pour un nouveau contrat de travail, ce qui a conduit à un lock-out, a déclaré dimanche l'Association des employeurs maritimes (MEA) et le syndicat.
L'AEM a déclaré dans un communiqué que le lock-out, qui affectera près de 1 200 travailleurs portuaires du port canadien qui a traité 8,7 millions de tonnes métriques au troisième trimestre de 2024, a été déclaré à partir de 21 heures (heure de l'Est) (02:00 GMT).
Le lock-out ralentira davantage les importations et les exportations canadiennes à un moment où le port de Montréal fonctionnait déjà à capacité partielle et où les ports de la côte ouest sont à l'arrêt en raison d'un conflit distinct.
Le syndicat représentant les débardeurs du port de Montréal a déclaré que l'offre avait été rejetée par 99,7 % des membres parce que l'employeur avait refusé de négocier.
"Si l'AEM avait respecté les processus de transactions collective, des solutions auraient été trouvées et un conflit au port de Montréal aurait été évité", a déclaré Michel Murray, conseiller syndical, dans un communiqué.
Deux terminaux exploités par Termont, l'opérateur de terminaux à conteneurs basé au port de Montréal, représentant environ 40 % du trafic de conteneurs de Montréal et 15 % du volume total du port, ont été fermés en raison de la grève du syndicat, qui a débuté le 31 octobre.
Toutefois, après l'annonce de dimanche, tous les débardeurs du port seront mis en lock-out. Seuls les services essentiels non liés au débardage seront maintenus au port de Montréal.
L'AEM a déclaré que son offre finale prévoyait une augmentation salariale de 3 % par an pendant quatre ans et une augmentation de 3,5 % pour les deux années suivantes.
Les ports de la côte ouest , y compris le plus grand port du Canada, Vancouver, sont également fermés depuis lundi en raison d'un conflit de travail, ce qui a eu un impact sur les exportations d'huile de canola et de produits forestiers.
0 commentaire
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer