Wall Street: USA et Chine relancent la machine diplomatique information fournie par Cercle Finance 09/06/2025 à 15:17
(CercleFinance.com) - La Bourse de New York devrait poursuivre son récent mouvement de hausse lundi, soutenue par la reprise des discussions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine.
Une demi-heure avant l'ouverture, les contrats 'futures' sur les principaux indices new-yorkais avancent d'environ 0,1%, annonçant un début de semaine sur une note légèrement favorable.
En s'adjugeant entre 1% et 2% la semaine passée, les marchés d'actions américains sont parvenus à aligner une seconde semaine consécutive de progression.
L'indice S&P 500 est même entré dans un marché techniquement haussier ('bull market') en s'octroyant plus de 20% depuis son point bas du 8 avril dernier, avant les annonces du fameux 'Jour de la Libération' de Donald Trump.
A ses niveaux actuels, l'indice de référence des gérants américains ne se situe plus qu'à 2% de son record historique atteint au mois de février dernier.
Wall Street a profité des dernières semaines pour réduire son retard par rapport à l'Europe: si le Vieux Continent reste encore la destination favorite de nombreux investisseurs, comme l'atteste le bond de 8% de l'indice STOXX Europe 600 cette année, le S&P gagne désormais 2% depuis le 1er janvier.
Bon nombre d'analystes préviennent pourtant que la place américaine risque de pâtir des incertitudes qui continuent d'entourer la mise en place de barrières commerciales, à leur tout susceptible de freiner la croissance et de peser sur les résultats.
Point positif pour les investisseurs, l'horizon commence un peu à s'éclaircir du côté de la politique commerciale, puisque les Etats-Unis et la Chine ont ouvert aujourd'hui à Londres la première réunion de leur mécanisme de consultation économique et commerciale.
Afin de se rassurer encore davantage, les intervenants suivront avec beaucoup d'attention, mercredi, les chiffres de l'indice des prix à la consommation (CPI).
Les économistes espèrent que ces données confirmeront le récent ralentissement de l'inflation Outre-Atlantique, qui était ressortie à 2,3% sur un an en avril, contre 2,4% en mars.
Hors éléments volatils tels que l'énergie et l'alimentation, l'inflation sous-jacente était, elle, restée stable à 2,8%.
La semaine sera également marquée par la parution, vendredi, de l'indice de confiance des consommateurs de l'Université du Michigan, qui permettra d'en savoir plus sur le moral des ménages.
Hormis les stocks des grossistes américaines, une statistique relativement secondaire, aucun indicateur important ne figure à l'agenda ce lundi.
La saison des résultats se poursuivra en parallèle avec, en point d'orgue, la publication de l'éditeur de logiciels d'entreprise Oracle, attendue mercredi soir.
Enfin, Apple se trouvera également sous les projecteurs avec le coup d'envoi dès aujourd'hui de sa conférence annuelle WWDC 2025, au cours de laquelle plusieurs 'nouveautés révolutionnaires' sont attendues.
Une demi-heure avant l'ouverture, les contrats 'futures' sur les principaux indices new-yorkais avancent d'environ 0,1%, annonçant un début de semaine sur une note légèrement favorable.
En s'adjugeant entre 1% et 2% la semaine passée, les marchés d'actions américains sont parvenus à aligner une seconde semaine consécutive de progression.
L'indice S&P 500 est même entré dans un marché techniquement haussier ('bull market') en s'octroyant plus de 20% depuis son point bas du 8 avril dernier, avant les annonces du fameux 'Jour de la Libération' de Donald Trump.
A ses niveaux actuels, l'indice de référence des gérants américains ne se situe plus qu'à 2% de son record historique atteint au mois de février dernier.
Wall Street a profité des dernières semaines pour réduire son retard par rapport à l'Europe: si le Vieux Continent reste encore la destination favorite de nombreux investisseurs, comme l'atteste le bond de 8% de l'indice STOXX Europe 600 cette année, le S&P gagne désormais 2% depuis le 1er janvier.
Bon nombre d'analystes préviennent pourtant que la place américaine risque de pâtir des incertitudes qui continuent d'entourer la mise en place de barrières commerciales, à leur tout susceptible de freiner la croissance et de peser sur les résultats.
Point positif pour les investisseurs, l'horizon commence un peu à s'éclaircir du côté de la politique commerciale, puisque les Etats-Unis et la Chine ont ouvert aujourd'hui à Londres la première réunion de leur mécanisme de consultation économique et commerciale.
Afin de se rassurer encore davantage, les intervenants suivront avec beaucoup d'attention, mercredi, les chiffres de l'indice des prix à la consommation (CPI).
Les économistes espèrent que ces données confirmeront le récent ralentissement de l'inflation Outre-Atlantique, qui était ressortie à 2,3% sur un an en avril, contre 2,4% en mars.
Hors éléments volatils tels que l'énergie et l'alimentation, l'inflation sous-jacente était, elle, restée stable à 2,8%.
La semaine sera également marquée par la parution, vendredi, de l'indice de confiance des consommateurs de l'Université du Michigan, qui permettra d'en savoir plus sur le moral des ménages.
Hormis les stocks des grossistes américaines, une statistique relativement secondaire, aucun indicateur important ne figure à l'agenda ce lundi.
La saison des résultats se poursuivra en parallèle avec, en point d'orgue, la publication de l'éditeur de logiciels d'entreprise Oracle, attendue mercredi soir.
Enfin, Apple se trouvera également sous les projecteurs avec le coup d'envoi dès aujourd'hui de sa conférence annuelle WWDC 2025, au cours de laquelle plusieurs 'nouveautés révolutionnaires' sont attendues.