Wall Street: une pause après deux jours de forte hausse information fournie par Cercle Finance 24/04/2025 à 15:05
(CercleFinance.com) - Wall Street devrait ouvrir autour de l'équilibre jeudi matin, les investisseurs semblant vouloir reprendre leur souffle après deux jours de nette progression.
Une demi-heure avant l'ouverture, les 'futures' sur les grands indices new-yorkais affichent des scores allant de -0,3% à +0,2%, annonçant un début de séance sans grande tendance.
En reprenant 1,7% hier après les 2,5% déjà engrangés mardi, le S&P 500 vient d'enchaîner pour la première fois depuis la victoire de Donald Trump en novembre dernier deux séances consécutives marquées par des gains de plus de 1%.
La tendance a été soutenue par un début d'accalmie dans le bras de fer que se livrent depuis plusieurs semaines les Etats-Unis et la Chine sur le commerce international.
Porté par l'absence de nouvelle escalade verbale entre Washington et Pékin, le S&P a désormais effacé plus de la moitié de ses pertes essuyées au cours des deux dernières semaines.
Il reste cependant encore en repli de près de 9% depuis le début de l'année.
Une certaine prudence reste toujours de mise en l'absence d'avancée tangible en vue du démarrage de véritables discussions entre les deux premières économies mondiales.
Christopher Dembik, conseiller en stratégie d'investissement chez Pictet AM, conseille aux investisseurs de rester prudents en dépit du récent redressement observé à New York.
'Les institutionnels, en particulier les fonds spéculatifs, sont toujours en retrait', fait valoir le professionnel dans son dernier point de marché.
'La hausse des marchés est essentiellement liée à des achats via ETFs par les particuliers', précise-t-il.
'Les volumes sont en outre toujours trop faibles pour espérer un revirement de tendance durable', conclut l'analyste.
Plusieurs entreprises de premier plan de la trempe de Merck ou PepsiCo ont averti ce matin à l'occasion de leurs résultats trimestriels que l'instauration des surtaxes douanières pénaliseraient leurs performances cette année.
Parmi les indicateurs macroéconomiques du jour, les données diffusées par le Département du Commerce ont révélé que les commandes de biens durables avaient bondi de 9,2% en mars.
En excluant toutefois le secteur des transports aux variations souvent particulièrement volatiles (et qui s'est envolé de 27% en mars), les commandes de biens durables sont restées pratiquement inchangées le mois dernier.
Du côté du marché du travail, les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté de 6000 lors de la semaine au 19 avril pour atteindre 222.000, selon le Département du Travail.
Une demi-heure avant l'ouverture, les 'futures' sur les grands indices new-yorkais affichent des scores allant de -0,3% à +0,2%, annonçant un début de séance sans grande tendance.
En reprenant 1,7% hier après les 2,5% déjà engrangés mardi, le S&P 500 vient d'enchaîner pour la première fois depuis la victoire de Donald Trump en novembre dernier deux séances consécutives marquées par des gains de plus de 1%.
La tendance a été soutenue par un début d'accalmie dans le bras de fer que se livrent depuis plusieurs semaines les Etats-Unis et la Chine sur le commerce international.
Porté par l'absence de nouvelle escalade verbale entre Washington et Pékin, le S&P a désormais effacé plus de la moitié de ses pertes essuyées au cours des deux dernières semaines.
Il reste cependant encore en repli de près de 9% depuis le début de l'année.
Une certaine prudence reste toujours de mise en l'absence d'avancée tangible en vue du démarrage de véritables discussions entre les deux premières économies mondiales.
Christopher Dembik, conseiller en stratégie d'investissement chez Pictet AM, conseille aux investisseurs de rester prudents en dépit du récent redressement observé à New York.
'Les institutionnels, en particulier les fonds spéculatifs, sont toujours en retrait', fait valoir le professionnel dans son dernier point de marché.
'La hausse des marchés est essentiellement liée à des achats via ETFs par les particuliers', précise-t-il.
'Les volumes sont en outre toujours trop faibles pour espérer un revirement de tendance durable', conclut l'analyste.
Plusieurs entreprises de premier plan de la trempe de Merck ou PepsiCo ont averti ce matin à l'occasion de leurs résultats trimestriels que l'instauration des surtaxes douanières pénaliseraient leurs performances cette année.
Parmi les indicateurs macroéconomiques du jour, les données diffusées par le Département du Commerce ont révélé que les commandes de biens durables avaient bondi de 9,2% en mars.
En excluant toutefois le secteur des transports aux variations souvent particulièrement volatiles (et qui s'est envolé de 27% en mars), les commandes de biens durables sont restées pratiquement inchangées le mois dernier.
Du côté du marché du travail, les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté de 6000 lors de la semaine au 19 avril pour atteindre 222.000, selon le Département du Travail.