Wall Street: pas de record mais semaine positive avec Nvidia information fournie par Cercle Finance 14/07/2025 à 07:32
(CercleFinance.com) - Wall Street n'a pas réussi à inscrire un troisième record consécutif vendredi : après avoir ouvert en repli, puis creusé ses pertes en fin de matinée, les acheteurs n'ont pas repris le dessus et le Dow Jones a reculé de 0,63% à 44.371, le Nasdaq Composite s'est effrité de 0,22% à 20.585 et le S&P 500 a lâché 0,33% à 6.260.
Mais les indices US ont aligné une nouvelle semaine de hausse avec +0,5% pour le 'S&P' et +0,85% pour le Nasdaq (pas de nouveau record malgré une culmination intraday à 23.648).
Mais ce qui reste le plus important, c'est que Nvidia (+0,5%) a aligné un quatrième record absolu (doublé séance/clôture) et a conforté son franchissement des 4.000Mds$ de 'capi', à 4.025Mds$, représentant pratiquement 10% de la pondération du Nasdaq.
Les indices US auraient pu finir plus mal car Donald Trump avait manifesté dans la soirée de jeudi son intention d'imposer des surtaxes douanières de 35% sur les produits canadiens, des propos qui maintenaient au premier plan les incertitudes liées au dossier commercial et à ses menaces pour l'économie mondiale... et il a récidivé vendredi en envisageant 30% de droits de douane pour l'Europe (qui espère négocier 10%)... et autant de surtaxe supplémentaire qu'Ursula von der Leyen en imposerait en rétorsion.
Le président américain a également affirmé qu'il envisageait des droits de douane généralisés, compris entre 15% et 20%, sur la plupart des partenaires commerciaux des Etats-Unis, contre une base de 10% actuellement.
Le rebond des actions américaines, nourri ces derniers mois par l'idée que les surtaxes douanières seraient finalement 'moins pires que redouté', s'est heurté cette semaine à une série de gros titres anxiogènes concernant le commerce, ce qui fait redouter aux analystes de nouveaux épisodes de volatilité.
'La résurgence des tensions commerciales avec le Canada, le risque que l'Union européenne se voit infliger des droits de douane plus lourds que prévu et le scénario de droits de douane de base de 15% à 20%, tout ça, c'est franchement pas ce qu'on voulait voir arriver', résume Scott Chronert, stratège chez Citi.
Mais les marchés poursuivent leur marche en avant, tirés par l'I.A, ce qui éclipse encore et toujours les tentations d'alléger les portefeuilles.
Mais les indices US ont aligné une nouvelle semaine de hausse avec +0,5% pour le 'S&P' et +0,85% pour le Nasdaq (pas de nouveau record malgré une culmination intraday à 23.648).
Mais ce qui reste le plus important, c'est que Nvidia (+0,5%) a aligné un quatrième record absolu (doublé séance/clôture) et a conforté son franchissement des 4.000Mds$ de 'capi', à 4.025Mds$, représentant pratiquement 10% de la pondération du Nasdaq.
Les indices US auraient pu finir plus mal car Donald Trump avait manifesté dans la soirée de jeudi son intention d'imposer des surtaxes douanières de 35% sur les produits canadiens, des propos qui maintenaient au premier plan les incertitudes liées au dossier commercial et à ses menaces pour l'économie mondiale... et il a récidivé vendredi en envisageant 30% de droits de douane pour l'Europe (qui espère négocier 10%)... et autant de surtaxe supplémentaire qu'Ursula von der Leyen en imposerait en rétorsion.
Le président américain a également affirmé qu'il envisageait des droits de douane généralisés, compris entre 15% et 20%, sur la plupart des partenaires commerciaux des Etats-Unis, contre une base de 10% actuellement.
Le rebond des actions américaines, nourri ces derniers mois par l'idée que les surtaxes douanières seraient finalement 'moins pires que redouté', s'est heurté cette semaine à une série de gros titres anxiogènes concernant le commerce, ce qui fait redouter aux analystes de nouveaux épisodes de volatilité.
'La résurgence des tensions commerciales avec le Canada, le risque que l'Union européenne se voit infliger des droits de douane plus lourds que prévu et le scénario de droits de douane de base de 15% à 20%, tout ça, c'est franchement pas ce qu'on voulait voir arriver', résume Scott Chronert, stratège chez Citi.
Mais les marchés poursuivent leur marche en avant, tirés par l'I.A, ce qui éclipse encore et toujours les tentations d'alléger les portefeuilles.