Wall Street: nouveau florilège de plus hauts absolus en attendant la Fed information fournie par Zonebourse 15/09/2025 à 17:42
La Bourse de New York s'inscrit en hausse lundi, valeurs technologiques en tête, à deux jours d'une réunion de la Réserve fédérale américaine qui pourrait marquer le coup d'envoi d'un cycle d'assouplissement monétaire de la Réserve fédérale.
Vers 11h00 (heure locale), le Dow Jones avance de 0,1% à 45.889,8 points, le S&P 500 progresse de 0,5% à 6617,4 points tandis que le Nasdaq Composite s'adjuge 0,7% à 22.302,1 points, ces deux derniers ayant établi dans la matinée de nouveaux records historiques.
Les marchés restent suspendus à l'annonce, prévue mercredi, des décisions de politique monétaire de la Fed, qui seront suivies d'une conférence de presse de son président Jerome Powell.
La banque centrale américaine devrait a priori opter pour une première réduction en un an du loyer de l'argent, mais les investisseurs attendent des précisions sur les perspectives économiques et surtout sur la possibilité de nouvelles baisses de taux face aux signes de ralentissement du marché de l'emploi.
Selon le baromètre FedWatch de CME Group, la probabilité estimée par les investisseurs d'une nouvelle baisse de taux de 25 points de base en octobre oscille autour de 79%, tandis que plus de 72% d'entre eux tablent sur une troisième réduction en décembre.
'Les marchés d'actions américains anticipent essentiellement un scénario d'atterrissage en douceur, voire une conjoncture en mode 'Boucle d'or' ('Goldilocks'), c'est-à-dire une croissance ni trop rapide, ni trop lente', souligne Scott Chronert, le stratège vedette de Citi.
'Mais historiquement, les fortes baisses de taux de la Fed interviennent plutôt quand l'économie faiblit, voire entre en récession', rappelle l'analyste.
L'annonce d'un net repli de l'indice 'Empire State' d'activité manufacturière dans la région de New York, repassé en territoire négatif en août, est venu alimenter l'espoir de plusieurs baisses de taux d'ici à la fin de l'année.
Dans ce contexte, les poids lourds des hautes technologies sont particulièrement entourés en raison de la corrélation positive existant entre leur valorisation et la baisse des taux d'intérêt.
Meilleure performance du S&P 500, Tesla s'envole de 6,5% après qu'Elon Musk a acheté pour un milliard de dollars d'actions du groupe texan, renforçant encore l'engagement du milliardaire après son gigantesque plan de rémunération présenté il y a dix jours.
Avec un gain de 3,1%, Alphabet - la maison-mère de Google - franchit pour la première fois à la hausse la barre des 3.000 milliards de dollars de capitalisation boursière ce qui en fait la quatrième entreprise la plus valorisée derrière Nvidia, Microsoft et Apple.
Les rendements des obligations du Trésor américain restent orientés à la baisse après la publication de l'Empire State décevant, le dix ans continuant d'évoluer, comme la semaine dernière, autour du niveau de 4,03%.
Le dollar fait preuve d'une certaine faiblesse, proche de plus bas de quatre ans, en attendant la réunion de la Fed, ce qui permet à l'euro de remonter autour de 1,1770.
Le marché pétrolier reste fois tiraillé entre les craintes d'un ralentissement de la demande et la perspective de perturbations géopolitiques susceptibles de peser sur l'offre, avec un brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) qui rebondit pour l'instant de 0,9% à 63,2 dollars.
Vers 11h00 (heure locale), le Dow Jones avance de 0,1% à 45.889,8 points, le S&P 500 progresse de 0,5% à 6617,4 points tandis que le Nasdaq Composite s'adjuge 0,7% à 22.302,1 points, ces deux derniers ayant établi dans la matinée de nouveaux records historiques.
Les marchés restent suspendus à l'annonce, prévue mercredi, des décisions de politique monétaire de la Fed, qui seront suivies d'une conférence de presse de son président Jerome Powell.
La banque centrale américaine devrait a priori opter pour une première réduction en un an du loyer de l'argent, mais les investisseurs attendent des précisions sur les perspectives économiques et surtout sur la possibilité de nouvelles baisses de taux face aux signes de ralentissement du marché de l'emploi.
Selon le baromètre FedWatch de CME Group, la probabilité estimée par les investisseurs d'une nouvelle baisse de taux de 25 points de base en octobre oscille autour de 79%, tandis que plus de 72% d'entre eux tablent sur une troisième réduction en décembre.
'Les marchés d'actions américains anticipent essentiellement un scénario d'atterrissage en douceur, voire une conjoncture en mode 'Boucle d'or' ('Goldilocks'), c'est-à-dire une croissance ni trop rapide, ni trop lente', souligne Scott Chronert, le stratège vedette de Citi.
'Mais historiquement, les fortes baisses de taux de la Fed interviennent plutôt quand l'économie faiblit, voire entre en récession', rappelle l'analyste.
L'annonce d'un net repli de l'indice 'Empire State' d'activité manufacturière dans la région de New York, repassé en territoire négatif en août, est venu alimenter l'espoir de plusieurs baisses de taux d'ici à la fin de l'année.
Dans ce contexte, les poids lourds des hautes technologies sont particulièrement entourés en raison de la corrélation positive existant entre leur valorisation et la baisse des taux d'intérêt.
Meilleure performance du S&P 500, Tesla s'envole de 6,5% après qu'Elon Musk a acheté pour un milliard de dollars d'actions du groupe texan, renforçant encore l'engagement du milliardaire après son gigantesque plan de rémunération présenté il y a dix jours.
Avec un gain de 3,1%, Alphabet - la maison-mère de Google - franchit pour la première fois à la hausse la barre des 3.000 milliards de dollars de capitalisation boursière ce qui en fait la quatrième entreprise la plus valorisée derrière Nvidia, Microsoft et Apple.
Les rendements des obligations du Trésor américain restent orientés à la baisse après la publication de l'Empire State décevant, le dix ans continuant d'évoluer, comme la semaine dernière, autour du niveau de 4,03%.
Le dollar fait preuve d'une certaine faiblesse, proche de plus bas de quatre ans, en attendant la réunion de la Fed, ce qui permet à l'euro de remonter autour de 1,1770.
Le marché pétrolier reste fois tiraillé entre les craintes d'un ralentissement de la demande et la perspective de perturbations géopolitiques susceptibles de peser sur l'offre, avec un brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) qui rebondit pour l'instant de 0,9% à 63,2 dollars.