Wall Street: le cap haussier maintenu, record tout proche information fournie par Cercle Finance 25/06/2025 à 15:21
(CercleFinance.com) - Wall Street devrait poursuivre son mouvement de hausse mercredi matin, toujours soutenue par le regain d'espoir concernant un prochain assouplissement monétaire de la Fed et la trêve entre l'Iran et Israël.
Une demi-heure avant l'ouverture, les 'futures' sur les principaux indices new-yorkais avancent de 0,1% à 0,4%, annonçant une poursuite de la dynamique favorable en place depuis le début de la semaine.
Le ton accommodant tenu hier par le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, lors de son audition par la Chambre des représentants avait largement contribué à soutenir la tendance mardi.
Le patron de la banque centrale américaine a en effet déclaré que la Fed pourrait agir 'plus tôt que prévu' en matière de baisse des taux, renforçant les anticipations d'une réduction du loyer de l'argent dès cet été.
Les investisseurs vont maintenant suivre avec attention la suite de son audition devant le Sénat ce mercredi, en quête de nouveaux indices sur le calendrier de le baisse des taux
Alors que le S&P 500 est revenu hier à moins de 1% de son plus haut historique, les intervenants étudieront attentivement les indicateurs économiques des prochains jours afin d'évaluer les chances d'une poursuite de la récente progression des marchés d'actions.
La publication, vendredi, de l'indicateur d'inflation préféré de la Fed - le déflateur des dépenses de consommation des ménages (PCE) - sera décortiquée avec soin.
Les économistes anticipent une légère accélération du PCE 'core' - hors alimentation et énergie - sur un an en mai, mais c'est surtout l'impact des droits de douane imposés par Donald Trump sur les prix qui retiendra leur attention.
Par ailleurs, la trêve au Moyen-Orient, négociée par les Etats-Unis, semble tenir bon puisqu'aucun échange de frappes entre Israël et l'Iran n'a été rapporté depuis les annonces du président Trump.
Dans ce contexte d'apaisement géopolitique, les prix du pétrole remontent légèrement, ce qui permet au baril de brut léger texan de reprendre plus de 1% et de repasser au-dessus de la barre des 65 dollars.
La volatilité a reflué ces derniers jours à Wall Street, signe d'un apaisement des incertitudes qui pesaient sur les marchés depuis plusieurs semaines, alors que la fin du trimestre approche.
Historiquement, le mois de juillet s'est d'ailleurs montré favorable aux actions: au cours des 15 dernières années, celui-ci s'est régulièrement classé parmi les meilleurs mois de l'année pour les principaux indices.
Avec un environnement plus stable et le retour de l'appétit pour le risque, les valeurs financières, mais aussi les titres liés à la consommation discrétionnaire, à la technologie et à la biotechnologie pourraient de nouveau tirer leur épingle du jeu, prédisent les analystes.
Une demi-heure avant l'ouverture, les 'futures' sur les principaux indices new-yorkais avancent de 0,1% à 0,4%, annonçant une poursuite de la dynamique favorable en place depuis le début de la semaine.
Le ton accommodant tenu hier par le président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, lors de son audition par la Chambre des représentants avait largement contribué à soutenir la tendance mardi.
Le patron de la banque centrale américaine a en effet déclaré que la Fed pourrait agir 'plus tôt que prévu' en matière de baisse des taux, renforçant les anticipations d'une réduction du loyer de l'argent dès cet été.
Les investisseurs vont maintenant suivre avec attention la suite de son audition devant le Sénat ce mercredi, en quête de nouveaux indices sur le calendrier de le baisse des taux
Alors que le S&P 500 est revenu hier à moins de 1% de son plus haut historique, les intervenants étudieront attentivement les indicateurs économiques des prochains jours afin d'évaluer les chances d'une poursuite de la récente progression des marchés d'actions.
La publication, vendredi, de l'indicateur d'inflation préféré de la Fed - le déflateur des dépenses de consommation des ménages (PCE) - sera décortiquée avec soin.
Les économistes anticipent une légère accélération du PCE 'core' - hors alimentation et énergie - sur un an en mai, mais c'est surtout l'impact des droits de douane imposés par Donald Trump sur les prix qui retiendra leur attention.
Par ailleurs, la trêve au Moyen-Orient, négociée par les Etats-Unis, semble tenir bon puisqu'aucun échange de frappes entre Israël et l'Iran n'a été rapporté depuis les annonces du président Trump.
Dans ce contexte d'apaisement géopolitique, les prix du pétrole remontent légèrement, ce qui permet au baril de brut léger texan de reprendre plus de 1% et de repasser au-dessus de la barre des 65 dollars.
La volatilité a reflué ces derniers jours à Wall Street, signe d'un apaisement des incertitudes qui pesaient sur les marchés depuis plusieurs semaines, alors que la fin du trimestre approche.
Historiquement, le mois de juillet s'est d'ailleurs montré favorable aux actions: au cours des 15 dernières années, celui-ci s'est régulièrement classé parmi les meilleurs mois de l'année pour les principaux indices.
Avec un environnement plus stable et le retour de l'appétit pour le risque, les valeurs financières, mais aussi les titres liés à la consommation discrétionnaire, à la technologie et à la biotechnologie pourraient de nouveau tirer leur épingle du jeu, prédisent les analystes.