Wall Street: la tendance repart à la hausse avec le rebond des cours du pétrole information fournie par Zonebourse 17/12/2025 à 15:23
La Bourse de New York devrait repartir de l'avant mercredi matin, profitant d'un rebond des valeurs pétrolières dans le sillage du redressement des cours du brut et de la bonne tenue des prix des autres matières premières dans leur ensemble.
Une demi-heure avant l'ouverture, les contrats "futures" sur les principaux indices avancent de 0,2% à 0,3%, laissant entrevoir un début de séance en territoire positif.
Les marchés d'actions américains avaient fini en ordre dispersé hier, mais l'indice S&P 500 (-0,2%) avait aligné une troisième séance de repli, victime de chiffres de l'emploi décevants, pouvant être interprétés à la fois comme annonciateurs de nouvelles baisses de taux mais aussi d'un net ralentissement de la croissance aux Etats-Unis.
La tendance avait par ailleurs été alourdie par le repli continu des prix du pétrole, avec un baril WTI texan qui était revenu, sous 55 dollars, à son plus bas niveau depuis janvier 2021, alors que l'économie américaine sortait à peine de l'épidémie de Covid.
Les cours du pétrole opèrent ce matin un rebond technique, avec un WTI qui se redresse de 2% au-delà de 56,3 dollars, un phénomène qui s'explique principalement par une hausse de la prime de risque géopolitique liée au blocus américain des tankers vénézuéliens et aux incertitudes autour des sanctions contre la Russie, qui font craindre des perturbations au niveau de l'offre.
Ce sursaut, qui s'inscrit dans le cadre d'une remontée plus large de toutes les matières première dont l'argent, devrait permettre aux valeurs pétrolières qui avaient été les plus durement touchées ces derniers temps par l'effondrement des cours, comme Chevron et ExxonMobil, de se redresser.
Avec une hausse de plus de 1% à 4 377,4 dollars, l'or revient à quelques encablures de ses sommets historiques, toujours porté par des anticipations de politique monétaire plus accommodante, par la forte demande des investisseurs (ETF et banques centrales) et par un contexte géopolitique tendu qui renforce son rôle de valeur refuge.
"Si l'inflation devait montrer des signes de faiblesse, cela ferait baisser les rendements, pèserait sur le dollar et donnerait à l'or une chance d'atteindre de monter toujours plus haut", prédit Bas Kooijman, gérant d'actifs chez DHF Capital.
La vigueur des cours du pétrole et la fermeté des marchés d'actions limitent l'attrait des valeurs refuges et le rendement à 10 ans des bons du Trésor américain remonte au-delà de 4,16% contre moins de 4,15% hier soir.
Une demi-heure avant l'ouverture, les contrats "futures" sur les principaux indices avancent de 0,2% à 0,3%, laissant entrevoir un début de séance en territoire positif.
Les marchés d'actions américains avaient fini en ordre dispersé hier, mais l'indice S&P 500 (-0,2%) avait aligné une troisième séance de repli, victime de chiffres de l'emploi décevants, pouvant être interprétés à la fois comme annonciateurs de nouvelles baisses de taux mais aussi d'un net ralentissement de la croissance aux Etats-Unis.
La tendance avait par ailleurs été alourdie par le repli continu des prix du pétrole, avec un baril WTI texan qui était revenu, sous 55 dollars, à son plus bas niveau depuis janvier 2021, alors que l'économie américaine sortait à peine de l'épidémie de Covid.
Les cours du pétrole opèrent ce matin un rebond technique, avec un WTI qui se redresse de 2% au-delà de 56,3 dollars, un phénomène qui s'explique principalement par une hausse de la prime de risque géopolitique liée au blocus américain des tankers vénézuéliens et aux incertitudes autour des sanctions contre la Russie, qui font craindre des perturbations au niveau de l'offre.
Ce sursaut, qui s'inscrit dans le cadre d'une remontée plus large de toutes les matières première dont l'argent, devrait permettre aux valeurs pétrolières qui avaient été les plus durement touchées ces derniers temps par l'effondrement des cours, comme Chevron et ExxonMobil, de se redresser.
Avec une hausse de plus de 1% à 4 377,4 dollars, l'or revient à quelques encablures de ses sommets historiques, toujours porté par des anticipations de politique monétaire plus accommodante, par la forte demande des investisseurs (ETF et banques centrales) et par un contexte géopolitique tendu qui renforce son rôle de valeur refuge.
"Si l'inflation devait montrer des signes de faiblesse, cela ferait baisser les rendements, pèserait sur le dollar et donnerait à l'or une chance d'atteindre de monter toujours plus haut", prédit Bas Kooijman, gérant d'actifs chez DHF Capital.
La vigueur des cours du pétrole et la fermeté des marchés d'actions limitent l'attrait des valeurs refuges et le rendement à 10 ans des bons du Trésor américain remonte au-delà de 4,16% contre moins de 4,15% hier soir.