Wall Street: la hausse se poursuit sereinement à la veille de Thanksgiving information fournie par Zonebourse 26/11/2025 à 15:16
La Bourse de New York devrait prolonger son rebond mercredi matin, les investisseurs continuant leurs achats des dernières séances avant une fin de semaine qui s'annonce allégée du fait des célébrations liées à la fête américaine de Thanksgiving.
Une demi-heure avant l'ouverture, les contrats 'futures' sur les principaux indices avancent entre 0,2% et 0,5%, laissant entrevoir une poursuite de la tendance haussière à l'oeuvre depuis vendredi dernier.
Le S&P 500 vient de signer sa meilleure performance en trois séances depuis plus de six mois, en s'adjugeant plus de 3,5% depuis jeudi soir, ce qui ne le place plus qu'à 140 points, soit environ 2%, de son plus haut historique établi fin octobre.
Au vu des contre-performances qui avaient été enregistrées sur les trois premières semaines de novembre, Wall Street démontre une nouvelle fois son étonnante capacité de résistance et sa propension évidente au rebond.
Les grandes valeurs technologiques, qui avaient été sous pression dernièrement en raison des interrogations concernant les valorisations jugées tendues de l'IA, sont parvenues à reprendre des couleurs, comme le montrent les sommets absolus atteints hier par le titre Alphabet (Google), désormais tout proche d'une capitalisation de 4 000 milliards de dollars.
La place boursière américaine a également été soutenue par une batterie d'indicateurs économiques contrastés, qui sont venus renforcer les espoirs que la Réserve Fédérale maintienne le mois prochain son programme de soutien à l'économie.
L'annonce, ce matin, d'une hausse timide de 0,5% des commandes de biens durables en septembre par rapport au mois précédent, après un bond de 3% en août, n'a pas eu beaucoup de répercussions sur la tendance.
D'après l'outil FedWatch de la Fed, les traders continuent de tabler avec une probabilité de presque 83% sur une nouvelle réduction de taux le 10 décembre, un chiffre qui n'avait jamais été aussi élevé depuis que Jerome Powell avait déclaré, à l'issue de la réunion de la Fed du mois dernier, qu'une baise du loyer de l'argent en décembre était 'loin d'être acquise'.
En cette veille de Thanksgiving, les volumes d'échanges pourraient s'avérer relativement minces au fil de la journée, nombre de professionnels n'étant pas derrière leur poste de travail en vue d'un week-end prolongé. Fermée demain, Wall Street ne rouvrira en effet que pour une demi-séance le lendemain ('Black Friday').
Le marché pétrolier se stabilise après sa chute des derniers jours, due aux espoirs suscités par le plan de paix élaboré par Washington concernant l'Ukraine. Le baril de WTI est stable, autour de 58 dollars, alors que les investisseurs prendront connaissance dans le courant de la matinée des statistiques hebdomadaires de l'Energy Information Administration (EIA).
En dépit du retour de l'appétit pour le risque, l'or maintient sa trajectoire haussière et rajoute 0,2% à 4 184,1 dollars après que les analystes de Deutsche Bank ont affirmé que le métal précieux pourrait s'approcher du seuil des 5 000 dollars l'once l'année prochaine.
Une demi-heure avant l'ouverture, les contrats 'futures' sur les principaux indices avancent entre 0,2% et 0,5%, laissant entrevoir une poursuite de la tendance haussière à l'oeuvre depuis vendredi dernier.
Le S&P 500 vient de signer sa meilleure performance en trois séances depuis plus de six mois, en s'adjugeant plus de 3,5% depuis jeudi soir, ce qui ne le place plus qu'à 140 points, soit environ 2%, de son plus haut historique établi fin octobre.
Au vu des contre-performances qui avaient été enregistrées sur les trois premières semaines de novembre, Wall Street démontre une nouvelle fois son étonnante capacité de résistance et sa propension évidente au rebond.
Les grandes valeurs technologiques, qui avaient été sous pression dernièrement en raison des interrogations concernant les valorisations jugées tendues de l'IA, sont parvenues à reprendre des couleurs, comme le montrent les sommets absolus atteints hier par le titre Alphabet (Google), désormais tout proche d'une capitalisation de 4 000 milliards de dollars.
La place boursière américaine a également été soutenue par une batterie d'indicateurs économiques contrastés, qui sont venus renforcer les espoirs que la Réserve Fédérale maintienne le mois prochain son programme de soutien à l'économie.
L'annonce, ce matin, d'une hausse timide de 0,5% des commandes de biens durables en septembre par rapport au mois précédent, après un bond de 3% en août, n'a pas eu beaucoup de répercussions sur la tendance.
D'après l'outil FedWatch de la Fed, les traders continuent de tabler avec une probabilité de presque 83% sur une nouvelle réduction de taux le 10 décembre, un chiffre qui n'avait jamais été aussi élevé depuis que Jerome Powell avait déclaré, à l'issue de la réunion de la Fed du mois dernier, qu'une baise du loyer de l'argent en décembre était 'loin d'être acquise'.
En cette veille de Thanksgiving, les volumes d'échanges pourraient s'avérer relativement minces au fil de la journée, nombre de professionnels n'étant pas derrière leur poste de travail en vue d'un week-end prolongé. Fermée demain, Wall Street ne rouvrira en effet que pour une demi-séance le lendemain ('Black Friday').
Le marché pétrolier se stabilise après sa chute des derniers jours, due aux espoirs suscités par le plan de paix élaboré par Washington concernant l'Ukraine. Le baril de WTI est stable, autour de 58 dollars, alors que les investisseurs prendront connaissance dans le courant de la matinée des statistiques hebdomadaires de l'Energy Information Administration (EIA).
En dépit du retour de l'appétit pour le risque, l'or maintient sa trajectoire haussière et rajoute 0,2% à 4 184,1 dollars après que les analystes de Deutsche Bank ont affirmé que le métal précieux pourrait s'approcher du seuil des 5 000 dollars l'once l'année prochaine.