Wall Street: l'inflation persistante ne fait pas dérailler les marchés information fournie par Zonebourse 11/09/2025 à 15:16
(Zonebourse.com) - Wall Street devrait ouvrir en légère hausse mercredi en dépit de l'annonce d'une remontée des chiffres des prix à la consommation en août, signe d'une inflation persistante qui pourrait rendre la Fed plus prudente quant à une réduction de ses taux d'intérêt.
Une demi-heure avant l'ouverture, les contrats 'futures' sur les principaux indices avancent en moyenne de 0,3%, annonçant un début de séance dans le vert.
Le Département du Travail a annoncé ce matin que l'indice des prix à la consommation (CPI) avait augmenté de 2,9% le mois dernier par rapport au même mois de 2024, soit une accélération de 0,2 point par rapport à la hausse de 2,7% enregistrée en juillet.
Hors énergie (+0,2%) et produits alimentaires (+3,2%), deux catégories souvent volatiles, le taux d'inflation annuel sous-jacent ressort lui à 3,1%, un taux identique à celui du mois précédent.
Ces chiffres, globalement en ligne avec les attentes, ne semblent pas avoir véritablement remis en question le rythme à venir de l'assouplissement monétaire de la Réserve fédérale.
Après ces statistiques, les marchés tablent désormais avec une probabilité de 89% sur une réduction de 25 points de base des taux de la Fed à l'issue de la réunion des 16 et 17 septembre, à en croire le baromètre FedWatch de CME Group.
La probabilité d'une baisse de taux plus agressive de 50 points de base est maintenant estimée à 11%.
La persistance des tensions inflationnistes continuent en effet d'être relativisée à l'aune des derniers indicateurs du marché du travail, qui témoignent d'un indéniable ralentissement de l'activité.
Le Département du Travail a également annoncé ce matin avoir enregistré 263.000 nouvelles inscriptions aux allocations chômage la semaine du 1er septembre, un chiffre en hausse de 27.000 par rapport à la semaine précédente.
La moyenne mobile sur quatre semaines - plus représentative de la tendance de fond - est quant à elle ressortie à 240.500, en hausse de 9750 par rapport à la semaine précédente.
Sur le marché obligataire, déjà très entouré depuis quelques jours, le rendement des 'Treasuries' à 10 ans accentue son repli en direction de 4,02%, à un creux de cinq mois.
Le dollar perd lui aussi du terrain après ces indicateurs, ce qui permet à l'euro de rebondir au-delà du seuil de 1,17, vers 1,1740.
Une demi-heure avant l'ouverture, les contrats 'futures' sur les principaux indices avancent en moyenne de 0,3%, annonçant un début de séance dans le vert.
Le Département du Travail a annoncé ce matin que l'indice des prix à la consommation (CPI) avait augmenté de 2,9% le mois dernier par rapport au même mois de 2024, soit une accélération de 0,2 point par rapport à la hausse de 2,7% enregistrée en juillet.
Hors énergie (+0,2%) et produits alimentaires (+3,2%), deux catégories souvent volatiles, le taux d'inflation annuel sous-jacent ressort lui à 3,1%, un taux identique à celui du mois précédent.
Ces chiffres, globalement en ligne avec les attentes, ne semblent pas avoir véritablement remis en question le rythme à venir de l'assouplissement monétaire de la Réserve fédérale.
Après ces statistiques, les marchés tablent désormais avec une probabilité de 89% sur une réduction de 25 points de base des taux de la Fed à l'issue de la réunion des 16 et 17 septembre, à en croire le baromètre FedWatch de CME Group.
La probabilité d'une baisse de taux plus agressive de 50 points de base est maintenant estimée à 11%.
La persistance des tensions inflationnistes continuent en effet d'être relativisée à l'aune des derniers indicateurs du marché du travail, qui témoignent d'un indéniable ralentissement de l'activité.
Le Département du Travail a également annoncé ce matin avoir enregistré 263.000 nouvelles inscriptions aux allocations chômage la semaine du 1er septembre, un chiffre en hausse de 27.000 par rapport à la semaine précédente.
La moyenne mobile sur quatre semaines - plus représentative de la tendance de fond - est quant à elle ressortie à 240.500, en hausse de 9750 par rapport à la semaine précédente.
Sur le marché obligataire, déjà très entouré depuis quelques jours, le rendement des 'Treasuries' à 10 ans accentue son repli en direction de 4,02%, à un creux de cinq mois.
Le dollar perd lui aussi du terrain après ces indicateurs, ce qui permet à l'euro de rebondir au-delà du seuil de 1,17, vers 1,1740.