Wall Street: fin de semaine plutôt terne, UnitedHealth pèse information fournie par Cercle Finance 17/04/2025 à 17:32
(CercleFinance.com) - Wall Street s'enfonce dans le rouge jeudi, avec un Dow Jones plombé par les mauvais résultats d'UnitedHealth tandis que le Nasdaq est alourdi par de nouveaux dégagements sur les semi-conducteurs.
En fin de matinée, le Dow Jones lâche 1,4% à 39.118,9 points, tandis que le Nasdaq Composite recule de 0,1% à 16.287,5 points.
La perspective d'un long week-end semble inciter les investisseurs à la prudence, tout comme la conjonction dite des 'trois sorcières' due à l'approche du terme d'avril pour les dérivés et options.
Les marchés d'actions américains seront en effet fermés demain pour 'Good Friday', mais rouvriront lundi pour le Lundi de Pâques.
Les investisseurs ont globalement ignoré les indicateurs économiques du jour pour évoluer au gré des résultats de sociétés, avec notamment une grosse déception du côté de l'assureur-santé UnitedHealth.
Le groupe, dont les résultats trimestriels ont manqué les attentes, a revu à la baisse ses objectifs annuels, ce qui conduisait son titre à décrocher de plus de 22% sur le Dow.
Sur l'ensemble de cette semaine écourtée, le Dow perd pour l'instant 1,4% et le Nasdaq cède autour de 1%, sur fond d'intensification du conflit commercial entre les Etats-Unis et la Chine.
Les poids lourds des semi-conducteurs, comme Nvidia (-3%), Intel (-2,5%) et Micron (-2%) qui avaient souffert hier des tensions commerciales, poursuivent leur repli aujourd'hui.
La grande majorité des compartiments du S&P 500 évoluent tous dans le vert, les gains les plus notables étant à l'actif de l'énergie (+3,3%), de la consommation de base (+1,9%) et de l'immobilier (+1,8%).
Toujours côté hausse, Eli Lilly grimpe de 15% après des résultats cliniques de phase 3 ayant montré que son comprimé anti-obésité avait permis une réduction de poids pouvant atteindre 7,9% au bout de 40 semaines de traitement.
Avec la nouvelle réduction de taux de la BCE, le dollar résiste face à l'euro, qui continue d'évoluer dans la zone de 1,1375, ce qui se traduit par une stabilité à 4,30% du rendement des Treasuries à dix ans.
Les cours pétroliers profitent du récent accès de faiblesse du dollar pour progresser: le brut léger texan (West Texas Intermediate, WTI) reprend 2,4% à près de 64 dollars.
Les récentes tensions sur les T-Bonds conjuguée au recul du dollar font flamber l'once d'or qui atteint 3.333 dollars l'once, soit 100.000 dollars le kilo 'tout rond' pour la première fois de l'histoire.
En fin de matinée, le Dow Jones lâche 1,4% à 39.118,9 points, tandis que le Nasdaq Composite recule de 0,1% à 16.287,5 points.
La perspective d'un long week-end semble inciter les investisseurs à la prudence, tout comme la conjonction dite des 'trois sorcières' due à l'approche du terme d'avril pour les dérivés et options.
Les marchés d'actions américains seront en effet fermés demain pour 'Good Friday', mais rouvriront lundi pour le Lundi de Pâques.
Les investisseurs ont globalement ignoré les indicateurs économiques du jour pour évoluer au gré des résultats de sociétés, avec notamment une grosse déception du côté de l'assureur-santé UnitedHealth.
Le groupe, dont les résultats trimestriels ont manqué les attentes, a revu à la baisse ses objectifs annuels, ce qui conduisait son titre à décrocher de plus de 22% sur le Dow.
Sur l'ensemble de cette semaine écourtée, le Dow perd pour l'instant 1,4% et le Nasdaq cède autour de 1%, sur fond d'intensification du conflit commercial entre les Etats-Unis et la Chine.
Les poids lourds des semi-conducteurs, comme Nvidia (-3%), Intel (-2,5%) et Micron (-2%) qui avaient souffert hier des tensions commerciales, poursuivent leur repli aujourd'hui.
La grande majorité des compartiments du S&P 500 évoluent tous dans le vert, les gains les plus notables étant à l'actif de l'énergie (+3,3%), de la consommation de base (+1,9%) et de l'immobilier (+1,8%).
Toujours côté hausse, Eli Lilly grimpe de 15% après des résultats cliniques de phase 3 ayant montré que son comprimé anti-obésité avait permis une réduction de poids pouvant atteindre 7,9% au bout de 40 semaines de traitement.
Avec la nouvelle réduction de taux de la BCE, le dollar résiste face à l'euro, qui continue d'évoluer dans la zone de 1,1375, ce qui se traduit par une stabilité à 4,30% du rendement des Treasuries à dix ans.
Les cours pétroliers profitent du récent accès de faiblesse du dollar pour progresser: le brut léger texan (West Texas Intermediate, WTI) reprend 2,4% à près de 64 dollars.
Les récentes tensions sur les T-Bonds conjuguée au recul du dollar font flamber l'once d'or qui atteint 3.333 dollars l'once, soit 100.000 dollars le kilo 'tout rond' pour la première fois de l'histoire.