Wall Street : encore un rebond salvateur, et une semaine positive à l'arrachée information fournie par Zonebourse 14/11/2025 à 23:15
Les indices US ont bien failli nous rejouer le scénario de vendredi dernier : après une chute initiale de -1,5% des principaux indices, qui mettait à mal d'importants supports moyen-terme (idem une semaine auparavant), alors que le 'VIX' s'envolait vers 23 (comme vendredi dernier), un 'funiculaire haussier' salvateur s'est enclenché 15H35 (et non pas à mi-séance comme le vendredi 10, où le suspens devenait angoissant).
Un 'algo' implacable a 'payé' le marché durant 2 heures et demi, sans jamais marquer la moindre pause, et quand les supports et moyennes mobiles les plus suivies ont été 'sécurisées', les acheteurs ses sont contentés de maintenir la situation en l'état, le 'VIX' finissant sur un repli symbolique de -1% à 19,85.
Pour illustre le fil de la séance, après une ouverture en forme de trou d'air de -1,5 à -1,7% (vers 24.535), le Nasdaq-100 a progressé de +0,75% jusque vers 25.200, avant d'en terminer sur un gain symbolique de +0,05% et de 'sauver' le seuil des 25.000, et donc la MM50 qui gravite vers 24.900.
Même scénario pour le S&P500, revenus un peu miraculeusement de 6.650 vers 6.775 et évoluait encore dans le vert à 21H40, avant de fléchir à -0,05% vers 6.735, ce qui 'sauve' également le support crucial des 6.700.
Du coup, la semaine qui menaçait de s'achever dans le rouge ressort marginalement positive : +0,1% pour le S&P500 et +0,65% pour le Dow Jones (qui a effacé la moitié de ses gains hebdos ce vendredi).
Les leaders du rebond matinal furent les 'technos', avec Micron +4,2%, Supermicro +3,8%, Nvidia +1,8%, Microchip +1,3%, Palantir +1,1%... les GAFAM restant ancrées dans le rouge mais avec des écarts modestes.
Le rebond de la matinée s'est enclenché sans que l'on puisse le relier à une 'stat', et encore moins à une déclaration apaisante d'un membre de la FED : ce fut tout l'inverse puisque 48H après Susan Collins et Raphael Bostic (qui quittera la FED en mai 2026), Jeffrey Schmid, patron de la Fed de Kansas City, qualifié la politique monétaire actuelle de ' modérément restrictive ', jugeant les niveaux de taux actuels appropriés, au vu des inquiétudes persistantes concernant l'inflation qui à son avis 'reste trop élevée'
Et il ajoute que 'l'économie US continue d'afficher une bonne dynamique avec un marché du travail moins dynamique mais globalement équilibré '.
Les T-Bonds ont régi de façon assez négative (malgré le 'risk-off' initial de Wall Street) avec +5,2Pts à 4,150% sur le '10 ans' et +4,8Pts sur le '30 ,ans' à 4,75%... et +2,2Pts sur le '2 ans' à 3,61%.
Le retour des publications macroéconomiques, qui devraient reprendre aux Etats-Unis lors de la semaine à venir avec la réouverture des services publics, n'en sera que davantage suivi, sachant que l'économie américaine, même si elle ne semble pas menacée de contraction à court terme, commence à montrer des signes de décélération, visibles notamment du côté du marché de l'emploi : de 'mauvais chiffres' seraient donc une 'très bonne nouvelle' vu la trajectoire négative des T-Bonds cette semaine.
A noter un vrai trou d'air sur les 'cryptos', comme vendredi dernier, mais avec de nouveaux 'plus bas' et un bitcoin sous les 95.000$ (94.700$ à 22H, lors de la clôture de Wall Street) qui contrairement à vendredi dernier tarde à rebondir pour 'sauver les 100K'.
Un 'algo' implacable a 'payé' le marché durant 2 heures et demi, sans jamais marquer la moindre pause, et quand les supports et moyennes mobiles les plus suivies ont été 'sécurisées', les acheteurs ses sont contentés de maintenir la situation en l'état, le 'VIX' finissant sur un repli symbolique de -1% à 19,85.
Pour illustre le fil de la séance, après une ouverture en forme de trou d'air de -1,5 à -1,7% (vers 24.535), le Nasdaq-100 a progressé de +0,75% jusque vers 25.200, avant d'en terminer sur un gain symbolique de +0,05% et de 'sauver' le seuil des 25.000, et donc la MM50 qui gravite vers 24.900.
Même scénario pour le S&P500, revenus un peu miraculeusement de 6.650 vers 6.775 et évoluait encore dans le vert à 21H40, avant de fléchir à -0,05% vers 6.735, ce qui 'sauve' également le support crucial des 6.700.
Du coup, la semaine qui menaçait de s'achever dans le rouge ressort marginalement positive : +0,1% pour le S&P500 et +0,65% pour le Dow Jones (qui a effacé la moitié de ses gains hebdos ce vendredi).
Les leaders du rebond matinal furent les 'technos', avec Micron +4,2%, Supermicro +3,8%, Nvidia +1,8%, Microchip +1,3%, Palantir +1,1%... les GAFAM restant ancrées dans le rouge mais avec des écarts modestes.
Le rebond de la matinée s'est enclenché sans que l'on puisse le relier à une 'stat', et encore moins à une déclaration apaisante d'un membre de la FED : ce fut tout l'inverse puisque 48H après Susan Collins et Raphael Bostic (qui quittera la FED en mai 2026), Jeffrey Schmid, patron de la Fed de Kansas City, qualifié la politique monétaire actuelle de ' modérément restrictive ', jugeant les niveaux de taux actuels appropriés, au vu des inquiétudes persistantes concernant l'inflation qui à son avis 'reste trop élevée'
Et il ajoute que 'l'économie US continue d'afficher une bonne dynamique avec un marché du travail moins dynamique mais globalement équilibré '.
Les T-Bonds ont régi de façon assez négative (malgré le 'risk-off' initial de Wall Street) avec +5,2Pts à 4,150% sur le '10 ans' et +4,8Pts sur le '30 ,ans' à 4,75%... et +2,2Pts sur le '2 ans' à 3,61%.
Le retour des publications macroéconomiques, qui devraient reprendre aux Etats-Unis lors de la semaine à venir avec la réouverture des services publics, n'en sera que davantage suivi, sachant que l'économie américaine, même si elle ne semble pas menacée de contraction à court terme, commence à montrer des signes de décélération, visibles notamment du côté du marché de l'emploi : de 'mauvais chiffres' seraient donc une 'très bonne nouvelle' vu la trajectoire négative des T-Bonds cette semaine.
A noter un vrai trou d'air sur les 'cryptos', comme vendredi dernier, mais avec de nouveaux 'plus bas' et un bitcoin sous les 95.000$ (94.700$ à 22H, lors de la clôture de Wall Street) qui contrairement à vendredi dernier tarde à rebondir pour 'sauver les 100K'.