Vivendi: Deutsche Bank dégrade son conseil post-scission information fournie par Cercle Finance 17/12/2024 à 14:29
(CercleFinance.com) - Deutsche Bank a annoncé mardi avoir dégradé sa recommandation sur le titre
Vivendi
à 'conserver', contre 'achat' jusqu'ici, avec un objectif de cours laissé inchangé à 2,90 euros.
Dans une note de recherche, l'analyste évoque un 'moment clé' dans l'histoire du groupe de médias et de divertissement avec les premières cotations en Bourse, intervenues hier, de Canal+, Havas et Louis Hachette Group.
'Le cours de Bourse de Vivendi reflète désormais la nouvelle structure de l'entreprise: une société holding détenant les actifs post-scission, à savoir un ensemble de participations dans des sociétés cotées et des activités toujours consolidées dans les jeux vidéo', explique l'intermédiaire.
Deutsche Bank rappelle que le démantèlement, qui visait à faire disparaître la décote de conglomérat qu'affichait le titre, en créant autour de 600 millions d'euros de valorisation, soit 7% de la capitalisation boursière du groupe.
'C'est moins que ce que nous anticipions, le marché attribuant une décote plus importante que ce que nous prévoyions, sans doute en raison d'inquiétudes autour de la gouvernance d'entreprise', poursuit DB.
Maintenant que le scénario d'une déconsolidation - qui constituait selon lui le principal pilier de sa recommandation d'achat - est passé, le professionnel abaisse en conséquence son conseil sur le titre.
Dans une note de recherche, l'analyste évoque un 'moment clé' dans l'histoire du groupe de médias et de divertissement avec les premières cotations en Bourse, intervenues hier, de Canal+, Havas et Louis Hachette Group.
'Le cours de Bourse de Vivendi reflète désormais la nouvelle structure de l'entreprise: une société holding détenant les actifs post-scission, à savoir un ensemble de participations dans des sociétés cotées et des activités toujours consolidées dans les jeux vidéo', explique l'intermédiaire.
Deutsche Bank rappelle que le démantèlement, qui visait à faire disparaître la décote de conglomérat qu'affichait le titre, en créant autour de 600 millions d'euros de valorisation, soit 7% de la capitalisation boursière du groupe.
'C'est moins que ce que nous anticipions, le marché attribuant une décote plus importante que ce que nous prévoyions, sans doute en raison d'inquiétudes autour de la gouvernance d'entreprise', poursuit DB.
Maintenant que le scénario d'une déconsolidation - qui constituait selon lui le principal pilier de sa recommandation d'achat - est passé, le professionnel abaisse en conséquence son conseil sur le titre.