Meta débauche trois chercheuses d'OpenAI, selon le WSJ

information fournie par Reuters •26/06/2025 à 06:08

((Traduction automatisée par Reuters à l'aide de l'apprentissage automatique et de l'IA générative, veuillez vous référer à l'avertissement suivant: https://bit.ly/rtrsauto))

(Ajout de la confirmation d'OpenAI sur les départs d'employés dans le paragraphe 2; contexte dans l'ensemble du texte)

Le directeur général de

Meta META.O Mark Zuckerberg a embauché trois chercheuses d'OpenAI pour rejoindre son équipe de "superintelligence", a rapporté mercredi le Wall Street Journal, quelques jours après que le directeur général d'OpenAI, Sam Altman, a accusé le propriétaire de Facebook d'essayer de débaucher ses employés.

Un porte-parole d'OpenAI a confirmé le départ des trois employés de l'entreprise, sans donner plus de détails. Meta n'a pas répondu immédiatement à une demande de commentaire en dehors des heures de bureau.

Meta a embauché Lucas Beyer, Alexander Kolesnikov et Xiaohua Zhai, qui travaillaient tous au bureau zurichois du propriétaire de ChatGPT, a rapporté le WSJ, citant des sources.

La semaine dernière, M. Altman a déclaré que Meta avait offert à ses employés des primes de 100 millions de dollars pour les recruter.

Autrefois reconnu comme un leader dans le domaine des modèles d'IA à code source ouvert, Meta a souffert de départs de personnel et a reporté le lancement de nouveaux modèles d'IA à code source ouvert qui pourraient rivaliser avec les modèles concurrents de Google GOOGL.O , d'OpenAI et du chinois DeepSeek.

"J'ai entendu dire que Meta nous considérait comme son plus grand concurrent", avait déclaré M. Altman.

Meta a récemment embauché Alexandr Wang, 28 ans, directeur général de Scale AI, pour travailler sur ses efforts en matière de "superintelligence". L'entreprise a également pris une participation de 49 % dans Scale AI pour 14,3 milliards de dollars.

Meta tente aujourd'hui de redresser la barre alors que des rapports suggèrent que Zuckerberg met en place une équipe d'experts pour parvenir à ce que l'on appelle "l'intelligence générale artificielle" (AGI).