Merck: données favorables dans le cancer de la vessie avec Pfizer information fournie par Cercle Finance 12/08/2025 à 12:31
(Zonebourse.com) - Merck a annoncé mardi que l'association de son immunothérapie-vedette Keytruda et du conjugué anticorps-médicament Padcev appartenant à Pfizer avait montré des résultats positifs dans le traitement d'une forme de cancer de la vessie.
Le groupe biopharmaceutique américain indique qu'un essai de phase 3 a démontré une 'amélioration cliniquement pertinente et statistiquement significative' de la survie sans évènements des patients traités, le critère principal de l'étude.
Deux objectifs secondaires, l'amélioration de la survie globale et la réponse pathologique complète (pCR), chez les patients atteints d'un cancer invasif de la vessie ne pouvant bénéficier d'une chimiothérapie, avant et après une opération en comparaison d'une chirurgie seule.
Avec plus de 614.000 nouveaux cas recensés chaque année, dont 30% sont invasifs sur le plan musculaire (MIBC), le cancer de la vessie est le neuvième cancer le plus fréquent dans le monde.
Le traitement de référence est habituellement une chimiothérapie à base de cisplatine, administrée avant l'opération, ce qui permet d'améliorer la survie des patients, mais jusqu'à la moitié des patients atteints de MIBC ne peuvent pas recevoir de cisplatine et disposent alors de peu d'options thérapeutiques, ce qui les oblige à être le plus souvent opérés sans traitement préalable.
'Au-delà de la chirurgie, il n'existait jusqu'à présent aucun progrès thérapeutique chez les patients atteints d'un cancer de la vessie invasif ne pouvant pas recevoir de chimiothérapie à base de cisplatine', peut-on lire dans le communiqué diffusé par Merck.
'Ces patients présentent un risque élevé de rechute et un mauvais pronostic, même après l'ablation de la vessie', est-il précisé.
'Les résultats de cette étude marquent la première fois qu'un traitement systémique, administré avant et après la chirurgie, améliore significativement la survie par rapport à la chirurgie seule chez ces patients. Cela montre le potentiel de cette combinaison pour répondre à un besoin médical important qui n'était pas couvert jusqu'ici', indique le communiqué.
L'utilisation de Keytruda et de Padcev a déjà été approuvée dans plusieurs pays pour le traitement des adultes atteints d'un cancer urothélial localement avancé ou métastatique.
Le groupe biopharmaceutique américain indique qu'un essai de phase 3 a démontré une 'amélioration cliniquement pertinente et statistiquement significative' de la survie sans évènements des patients traités, le critère principal de l'étude.
Deux objectifs secondaires, l'amélioration de la survie globale et la réponse pathologique complète (pCR), chez les patients atteints d'un cancer invasif de la vessie ne pouvant bénéficier d'une chimiothérapie, avant et après une opération en comparaison d'une chirurgie seule.
Avec plus de 614.000 nouveaux cas recensés chaque année, dont 30% sont invasifs sur le plan musculaire (MIBC), le cancer de la vessie est le neuvième cancer le plus fréquent dans le monde.
Le traitement de référence est habituellement une chimiothérapie à base de cisplatine, administrée avant l'opération, ce qui permet d'améliorer la survie des patients, mais jusqu'à la moitié des patients atteints de MIBC ne peuvent pas recevoir de cisplatine et disposent alors de peu d'options thérapeutiques, ce qui les oblige à être le plus souvent opérés sans traitement préalable.
'Au-delà de la chirurgie, il n'existait jusqu'à présent aucun progrès thérapeutique chez les patients atteints d'un cancer de la vessie invasif ne pouvant pas recevoir de chimiothérapie à base de cisplatine', peut-on lire dans le communiqué diffusé par Merck.
'Ces patients présentent un risque élevé de rechute et un mauvais pronostic, même après l'ablation de la vessie', est-il précisé.
'Les résultats de cette étude marquent la première fois qu'un traitement systémique, administré avant et après la chirurgie, améliore significativement la survie par rapport à la chirurgie seule chez ces patients. Cela montre le potentiel de cette combinaison pour répondre à un besoin médical important qui n'était pas couvert jusqu'ici', indique le communiqué.
L'utilisation de Keytruda et de Padcev a déjà été approuvée dans plusieurs pays pour le traitement des adultes atteints d'un cancer urothélial localement avancé ou métastatique.