LVMH en vert, deux brokers relèvent leur cible information fournie par Zonebourse 01/12/2025 à 15:01
LVMH
gagne près de 0,4%, à 15h, dans un marché parisien en baisse de 0,5%.
Dans ce contexte, Oddo BHF réaffirme son opinion 'surperformance' sur LVMH avec un objectif de cours porté de 585 à 695 euros, notant que le titre 'se traite sur un PE 2028 sous les 20 fois, ce qui laisse envisager un potentiel significatif de revalorisation à moyen terme'.
S'il ne remonte que modérément ses prévisions de bénéfices sur 2025 et 2026 à ce stade, gardant un scénario secteur plutôt prudent, le bureau d'études adopte une vision plus positive des perspectives moyen/long terme du géant français du luxe.
En termes chiffrés, Oddo BHF remonte ainsi son estimation d'EBIT pour 2028 de 5%, rehausse son hypothèse de croissance moyenne long terme de 6,5% à 7%, et relève sa marge normative d'EBIT à 25,6%.
Cette vision plus favorable s'appuie sur une confiance accrue dans la position du groupe en soft luxury, une contribution accrue à la croissance à venir des bénéfices de Bulgari et Tiffany, ainsi que les efforts de restructuration en vins et spiritueux.
De son côté, Deutsche Bank a annoncé lundi avoir relevé de 635 à 715 euros son objectif de cours sur LVMH, tout en renouvelant sa recommandation d'achat sur le titre.
Dans une étude sectorielle abordant les perspectives du marché du luxe, la banque allemande considère que 2026 s'annonce comme une année 'décisive' pour le secteur avec des écarts de croissance entre grandes marques appelés à se réduire alors qu'ils s'avéraient particulièrement élevés ces dernières années.
Si beaucoup de segments sont encore à la peine, les analystes de Deutsche Bank jugent que le luxe est bien placé pour accélérer en 2026, même s'ils excluent que la croissance revienne à ses niveaux exceptionnels d'avant-Covid, ce qui ne les empêchent pas d'anticiper une amélioration progressive de l'activité au fil de l'exercice, susceptible de faire remonter les multiples de valorisations.
Si LVMH et Burberry restent ses titres préférés, l'établissement financier dit avoir ajouté à cette liste le suisse Richemont en raison de sa croissance meilleure que prévu, tandis que Kering et Moncler demeurent ses valeurs les moins appréciés du fait du risque de déception associé à leurs résultats financiers.
Dans ce contexte, Oddo BHF réaffirme son opinion 'surperformance' sur LVMH avec un objectif de cours porté de 585 à 695 euros, notant que le titre 'se traite sur un PE 2028 sous les 20 fois, ce qui laisse envisager un potentiel significatif de revalorisation à moyen terme'.
S'il ne remonte que modérément ses prévisions de bénéfices sur 2025 et 2026 à ce stade, gardant un scénario secteur plutôt prudent, le bureau d'études adopte une vision plus positive des perspectives moyen/long terme du géant français du luxe.
En termes chiffrés, Oddo BHF remonte ainsi son estimation d'EBIT pour 2028 de 5%, rehausse son hypothèse de croissance moyenne long terme de 6,5% à 7%, et relève sa marge normative d'EBIT à 25,6%.
Cette vision plus favorable s'appuie sur une confiance accrue dans la position du groupe en soft luxury, une contribution accrue à la croissance à venir des bénéfices de Bulgari et Tiffany, ainsi que les efforts de restructuration en vins et spiritueux.
De son côté, Deutsche Bank a annoncé lundi avoir relevé de 635 à 715 euros son objectif de cours sur LVMH, tout en renouvelant sa recommandation d'achat sur le titre.
Dans une étude sectorielle abordant les perspectives du marché du luxe, la banque allemande considère que 2026 s'annonce comme une année 'décisive' pour le secteur avec des écarts de croissance entre grandes marques appelés à se réduire alors qu'ils s'avéraient particulièrement élevés ces dernières années.
Si beaucoup de segments sont encore à la peine, les analystes de Deutsche Bank jugent que le luxe est bien placé pour accélérer en 2026, même s'ils excluent que la croissance revienne à ses niveaux exceptionnels d'avant-Covid, ce qui ne les empêchent pas d'anticiper une amélioration progressive de l'activité au fil de l'exercice, susceptible de faire remonter les multiples de valorisations.
Si LVMH et Burberry restent ses titres préférés, l'établissement financier dit avoir ajouté à cette liste le suisse Richemont en raison de sa croissance meilleure que prévu, tandis que Kering et Moncler demeurent ses valeurs les moins appréciés du fait du risque de déception associé à leurs résultats financiers.