Le secteur automobile grimpe en Bourse, BofA se dit optimiste sur ses perspectives information fournie par Zonebourse 04/12/2025 à 12:31
Les valeurs automobiles figurent aux avant-postes des marchés d'actions européens ce jeudi, portées par des commentaires encourageants des analystes de Bank of America concernant les perspectives du secteur à l'approche de l'année 2026.
Aux alentours de 12h00, l'indice du secteur automobile européen, le STOXX Europe 600 Automobiles & Parts, progresse de 2,2% à comparer avec un gain de 0,2% pour l'indice paneuropéen STOXX 600 dans son ensemble.
Les titres Porsche ( 4,1%), Mercedes-Benz ( 4%), Stellantis ( 3,6%) ou BMW ( 3,5%) signent ainsi quelques unes des meilleures performances de ce début de journée.
A Paris, Renault affiche de loin la plus forte progression du CAC 40 avec un gain de 5,3%.
Dans une étude sectorielle publiée dans la matinée, les équipes de BofA se déclarent "optimistes" concernant les constructeurs européens à horizon 2026, expliquant s'attendre à ce que la pression réglementaire qui s'exerce sur la filière retombe, tout particulièrement en ce qui concerne la régulation européenne sur les émissions de CO2 de véhicules.
Du point de vue de la banque américaine, un allègement de la trajectoire de décarbonation apporterait en effet une "flexibilité" bienvenue au secteur.
"Les Etats-Unis commencent déjà à montrer la voie, avec des contraintes liées aux émissions de CO2 qui pourraient totalement disparaître", commente la firme new-yorkaise.
"L'Europe n'ira certainement pas aussi loin mais pourrait bien reporter l'interdiction des véhicules thermiques au-delà de 2040, une annonce qui pourrait être faite dès le 10 décembre prochain, ou peu après", ajoute BofA.
"Dans un scénario extrême, les objectifs de réduction à horizon 2035 (qui prévoient une réduction de 100% des émissions) pourraient être réduits de moitié", ajoute la banque.
"Il s'agirait d'un élément hautement significatif pour un secteur où beaucoup de titres intègrent déjà le scénario d'une disruption totale", ajoutent les analystes.
Dans cette optique, BofA indique privilégier les valeurs les moins onéreuses du secteur, tout en soulignant que c'est l'ensemble de l'industrie qui serait appelé à bénéficier de telles mesures, de Renault jusqu'à Ferrari.
Aux alentours de 12h00, l'indice du secteur automobile européen, le STOXX Europe 600 Automobiles & Parts, progresse de 2,2% à comparer avec un gain de 0,2% pour l'indice paneuropéen STOXX 600 dans son ensemble.
Les titres Porsche ( 4,1%), Mercedes-Benz ( 4%), Stellantis ( 3,6%) ou BMW ( 3,5%) signent ainsi quelques unes des meilleures performances de ce début de journée.
A Paris, Renault affiche de loin la plus forte progression du CAC 40 avec un gain de 5,3%.
Dans une étude sectorielle publiée dans la matinée, les équipes de BofA se déclarent "optimistes" concernant les constructeurs européens à horizon 2026, expliquant s'attendre à ce que la pression réglementaire qui s'exerce sur la filière retombe, tout particulièrement en ce qui concerne la régulation européenne sur les émissions de CO2 de véhicules.
Du point de vue de la banque américaine, un allègement de la trajectoire de décarbonation apporterait en effet une "flexibilité" bienvenue au secteur.
"Les Etats-Unis commencent déjà à montrer la voie, avec des contraintes liées aux émissions de CO2 qui pourraient totalement disparaître", commente la firme new-yorkaise.
"L'Europe n'ira certainement pas aussi loin mais pourrait bien reporter l'interdiction des véhicules thermiques au-delà de 2040, une annonce qui pourrait être faite dès le 10 décembre prochain, ou peu après", ajoute BofA.
"Dans un scénario extrême, les objectifs de réduction à horizon 2035 (qui prévoient une réduction de 100% des émissions) pourraient être réduits de moitié", ajoute la banque.
"Il s'agirait d'un élément hautement significatif pour un secteur où beaucoup de titres intègrent déjà le scénario d'une disruption totale", ajoutent les analystes.
Dans cette optique, BofA indique privilégier les valeurs les moins onéreuses du secteur, tout en soulignant que c'est l'ensemble de l'industrie qui serait appelé à bénéficier de telles mesures, de Renault jusqu'à Ferrari.