La déflation est le mot du jour dans le commerce de détail alimentaire de l'UE, mais peut-elle être une réalité ? -Bernstein

        * 
      Les contrats à terme sur les indices boursiers américains
sont
dans le rouge: Nasdaq 100 en baisse de plus de 1
    

        * 
      Demandes initiales d'allocations chômage 201k contre 225k
estimées
    

        * 
      L'indice Euro STOXX 600 en baisse de >1%
    

        * 
      Hausse du dollar; hausse du brut; baisse de l'or; baisse
de ~2%
du bitcoin     

        * 
      Le rendement du Trésor américain à 10 ans atteint ~4,48%
    

  
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     LA DÉFLATION EST LE MOT DU JOUR DANS LE COMMERCE DE DÉTAIL
ALIMENTAIRE DE L'UE, MAIS PEUT-ELLE ÊTRE UNE RÉALITÉ?  -
BERNSTEIN (0917 EDT/1317 GMT)
 Après plus d'un an de flambée des prix, la désinflation se
produit presque partout et les prix des paniers d'achat
ralentissent également, même si c'est à un rythme plus lent.
 Les prix élevés du sucre et de l'huile d'olive exercent encore
des pressions, et de nombreux détaillants mentionnent des
marques qui répercutent les augmentations de coûts, soulignent
les analystes de Bernstein dans une note publiée jeudi.
 Le courtier prévoit un retour à long terme à un taux
d'inflation normalisé d'environ 2 %, alors que le resserrement
monétaire des banques centrales refroidit l'économie mondiale.
 Mais il précise que la déflation, qui est peut-être le mot du
jour dans l'UE, est une autre histoire, car la dernière fois que
les États-Unis l'ont connue dans le secteur alimentaire, c'était
dans les années 1950. 
 "Il faut croire qu'un acteur devient irrationnel en matière de
prix pour voir une déflation matérielle, ce que nous ne
prévoyons pas, en particulier avec les discounters dont les
marges sont comprimées", a ajouté Bernstein.
 Il devient plus prudent sur les sociétés exposées aux marchés
émergents comme Carrefour  CARR.PA  (Brasil) et Jeronimo Martins
 JMT.LS  (Pologne et Colombie), tandis qu'il reste plus positif
sur les noms exposés au Royaume-Uni comme Tesco  TSCO.L  et
Sainsbury's  SBRY.L .
 L'inflation des produits alimentaires dans la zone euro a
baissé à 9,7% en août d'une année sur l'autre, contre 10,8% en
juillet, a déclaré Eurostat mercredi. 
 
 (Matteo Allievi)
 *****
 
 
 NASDAQ COMPOSITE: LES TRADERS VISENT LE SUPPORT (0900 EDT/1300
GMT)
 Dans le sillage de la pause hawkish de la Fed, le Nasdaq
Composite  .IXIC  a terminé en baisse de 1,5% à 13 469 mercredi.
 Maintenant, avec les contrats à terme e-mini Nasdaq 100  NQcv1 
dégringolant de plus de 1% dans les échanges pré-marché de
jeudi, le Composite semble prêt à suivre une baisse à
l'ouverture.
 En effet, l'indice IXIC semble prêt à passer sous sa moyenne
mobile ascendante de 100 jours (DMA) au début des échanges:
 
 
 La moyenne mobile 100 jours a terminé mercredi à 13 448, et
devrait remonter jusqu'à environ 13 460 jeudi. Il est à noter
que l'indice composite n'a pas terminé une séance sous sa
moyenne mobile à 100 jours depuis le 10 mars de cette année.
 En ce qui concerne le prochain support, le plus bas du 25 août
se situait à 13 376. 
 La zone 13 181-13 089 est considérée comme particulièrement
importante. Cette zone comprend le sommet d'août 2022 (13 181),
la ligne de soutien du début janvier 2023 (~13 165), le creux de
la mi-août 2023 (13 161), le retracement de 50 % de la baisse du
Nasdaq entre 2021 et 2022 (13 150), et le creux du début juin
2023 (13 089).
 Une clôture en dessous de cette zone peut suggérer la
possibilité d'une baisse beaucoup plus importante. La moyenne
mobile ascendante (200-DMA) s'est terminée mercredi à 12 450 et
le retracement de Fibonacci de 38,2 % de la baisse de 2021-2022
se situe à 12 427.
 Si l'indice technologique reprend sa moyenne mobile 100, la
zone 13 873-13 958 constituera le prochain obstacle. Elle
comprend le retracement de Fibonacci de 61,8 % de la baisse de
2021-2022 (13 873), la 50-DMA (qui s'est terminée mercredi à 13
874), et le sommet du 14 septembre (13 958).
 Pendant ce temps, avec la faiblesse de mercredi, une mesure de
la force interne du Nasdaq, l'indice Nasdaq New High/New Low,
continue d'être battu. Cependant, cette mesure, qui est
maintenant en baisse à 18,1 %, teste une zone définie par ses
creux de fin 2022 et 2023 dans la zone 20,4 %-13,9 % - cliquez
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 (Terence Gabriel)
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