L'arrivée de de Meo chez Kering saluée par deux analystes, le titre grimpe information fournie par Zonebourse 16/09/2025 à 17:07
Kering
signe la plus forte progression du CAC avec un gain de 3% depuis l'ouverture. Le titre profite notamment d'une analyse d'AlphaValue qui relève son conseil sur le titre, passant de 'Sell' à 'Reduce', avec un objectif de cours inchangé à 279 euros.
L'analyste souligne un 'premier jour' très actif de Luca de Meo (changements de dirigeants chez Gucci, transfert des lunettes Valentino vers Kering Eyewear), des signaux qui 'renforcent' la thèse de redressement à partir de FY26.
Le bureau d'études relève ses hypothèses (EPS 2026 à 10,4 contre 10,1, +2,69%) et ses moteurs de valorisation (multiplicateur Gucci porté de 15x à 16x), soutenant des niveaux NAV/DCF plus élevés.
D'après la note, les hypothèses de croissance de long terme sont relevées de 3% à 4,5%, tout en rappelant un contexte de marché encore 'challenging'.
De son côté, HSBC a déclaré hier maintenir sa recommandation d'achat sur Kering, avec un objectif de cours inchangé de 300 euros.
Au vu du discours récemment tenu par le nouveau directeur général du groupe, Luca de Meo, le courtier estime qu'il arrive à son poste avec une vraie énergie, un esprit compétitif et une volonté forte de redresser l'activité.
En s'inspirant de ce qu'il a fait chez Renault, le capitaine d'industrie pourrait changer la culture de Kering en procédant à un renouvellement des équipes, poursuit-il, ce qui pourrait constituer à garder certains cadres historiques, faire revenir d'anciens profils ayant quitté l'entreprise et recruter des experts en provenance du secteur ou d'autres secteurs.
Le broker indique que cette approche lui rappelle celle privilégiée par Steve Jobs chez Apple, qui expliquait recruter des gens intelligents pour que ces derniers lui expliquent quoi faire, et non pas afin de leur imposer ses vues.
Il n'empêche, Kering va probablement être amené à revoir la composition de son portefeuille de marques et d'actifs, peut-être en réfléchissant à l'avenir de ses métiers dans la joaillerie et la beauté, en mettant fin à ses activités qui performent mal, en réorganisant les participations détenues par la holding Artemis, qui incluent Puma, des vignobles ou Christie's, poursuit HSBC.
D'un point de vue boursier, le scénario pessimiste privilégié à l'heure actuelle ('bear case') devrait peu à peu s'atténuer grâce à une série de petites bonnes nouvelles de nature à redonner confiance au marché, conclut-il.
L'analyste souligne un 'premier jour' très actif de Luca de Meo (changements de dirigeants chez Gucci, transfert des lunettes Valentino vers Kering Eyewear), des signaux qui 'renforcent' la thèse de redressement à partir de FY26.
Le bureau d'études relève ses hypothèses (EPS 2026 à 10,4 contre 10,1, +2,69%) et ses moteurs de valorisation (multiplicateur Gucci porté de 15x à 16x), soutenant des niveaux NAV/DCF plus élevés.
D'après la note, les hypothèses de croissance de long terme sont relevées de 3% à 4,5%, tout en rappelant un contexte de marché encore 'challenging'.
De son côté, HSBC a déclaré hier maintenir sa recommandation d'achat sur Kering, avec un objectif de cours inchangé de 300 euros.
Au vu du discours récemment tenu par le nouveau directeur général du groupe, Luca de Meo, le courtier estime qu'il arrive à son poste avec une vraie énergie, un esprit compétitif et une volonté forte de redresser l'activité.
En s'inspirant de ce qu'il a fait chez Renault, le capitaine d'industrie pourrait changer la culture de Kering en procédant à un renouvellement des équipes, poursuit-il, ce qui pourrait constituer à garder certains cadres historiques, faire revenir d'anciens profils ayant quitté l'entreprise et recruter des experts en provenance du secteur ou d'autres secteurs.
Le broker indique que cette approche lui rappelle celle privilégiée par Steve Jobs chez Apple, qui expliquait recruter des gens intelligents pour que ces derniers lui expliquent quoi faire, et non pas afin de leur imposer ses vues.
Il n'empêche, Kering va probablement être amené à revoir la composition de son portefeuille de marques et d'actifs, peut-être en réfléchissant à l'avenir de ses métiers dans la joaillerie et la beauté, en mettant fin à ses activités qui performent mal, en réorganisant les participations détenues par la holding Artemis, qui incluent Puma, des vignobles ou Christie's, poursuit HSBC.
D'un point de vue boursier, le scénario pessimiste privilégié à l'heure actuelle ('bear case') devrait peu à peu s'atténuer grâce à une série de petites bonnes nouvelles de nature à redonner confiance au marché, conclut-il.