Kering: RBC relève son objectif de cours information fournie par Cercle Finance 11/08/2025 à 16:55
(Zonebourse.com) - RBC a renouvelé lundi son opinion 'performance en ligne avec le secteur' sur
Kering
, tout en relevant son objectif de cours sur le titre de 170 à 220 euros.
Dans une étude consacrée au secteur du luxe, le broker prévient que le redressement du groupe français est appelé à prendre du temps sachant que la plus grande partie de ses marques, exception faite de la lunetterie, enregistre aujourd'hui des taux de croissance stables voire négatifs, sans compter les pressions qui s'exercent sur leurs marges et un endettement toujours élevé devant être réduit via des cessions d'actifs (principalement dans l'immobilier).
S'il se montre encouragé par l'arrivée prochaine de Luca de Meo, le courtier dit ne pas anticiper de résolution rapide de la situation de l'entreprise.
'Nous attendons une réorganisation de l'état-major au vu des nombreuses instances existant actuellement (un président exécutif, deux co-directeurs généraux et un directeur financier) qui ne favorisent pas la prise de décision de notre point de vue', poursuit-il.
En ce qui concerne Gucci, le marché reste en mode 'wait and see' en attendant la première collection de Demna, le nouveau directeur créatif de la griffe, prévue en septembre 2025, au moment où des changements importants sont également prévus chez Bottega Veneta, Balenciaga, Celine, Chanel, Dior et Valentino, rappelle le professionnel.
'S'il reste à voir si ces bouleversements inédits sont de nature à impulser une nouvelle direction au secteur, il reste aussi à savoir quels en seront les gagnants et les perdants', ajoute le broker.
Dans ce contexte, RBC explique privilégier une approche attentiste avant de connaître les grandes orientations stratégiques de Luca De Meo et préfère jouer, d'ici là, la thématique du redressement en privilégiant le britannique Burberry.
Dans une étude consacrée au secteur du luxe, le broker prévient que le redressement du groupe français est appelé à prendre du temps sachant que la plus grande partie de ses marques, exception faite de la lunetterie, enregistre aujourd'hui des taux de croissance stables voire négatifs, sans compter les pressions qui s'exercent sur leurs marges et un endettement toujours élevé devant être réduit via des cessions d'actifs (principalement dans l'immobilier).
S'il se montre encouragé par l'arrivée prochaine de Luca de Meo, le courtier dit ne pas anticiper de résolution rapide de la situation de l'entreprise.
'Nous attendons une réorganisation de l'état-major au vu des nombreuses instances existant actuellement (un président exécutif, deux co-directeurs généraux et un directeur financier) qui ne favorisent pas la prise de décision de notre point de vue', poursuit-il.
En ce qui concerne Gucci, le marché reste en mode 'wait and see' en attendant la première collection de Demna, le nouveau directeur créatif de la griffe, prévue en septembre 2025, au moment où des changements importants sont également prévus chez Bottega Veneta, Balenciaga, Celine, Chanel, Dior et Valentino, rappelle le professionnel.
'S'il reste à voir si ces bouleversements inédits sont de nature à impulser une nouvelle direction au secteur, il reste aussi à savoir quels en seront les gagnants et les perdants', ajoute le broker.
Dans ce contexte, RBC explique privilégier une approche attentiste avant de connaître les grandes orientations stratégiques de Luca De Meo et préfère jouer, d'ici là, la thématique du redressement en privilégiant le britannique Burberry.