Ipsos : premier semestre 2017 information fournie par GlobeNewswire 26/07/2017 à 18:22
Premier semestre 2017
Un semestre sans relief apparent
***
Chiffre d'affaires : 833,8 millions d'euros
Croissance organique + 0,1 %
Nouveaux Services + 18 %
Résultat net ajusté + 9,0 %
Paris, 26 juillet 2017 - Le chiffre d'affaires d'Ipsos au premier semestre 2017 est de 833,8 millions d'euros, très proche du niveau des 833,6 millions d'euros publié au titre du premier semestre 2016. Les effets de change, légèrement positifs pour 0,5 % et de périmètre négatifs pour 0,6 % s'annulent à peu près. La croissance organique d'Ipsos, pour la période de référence, est de 0,1 %. Toutes ces données sont illustratives d'une activité stable, sans tendance claire.
Cela étant, des évolutions importantes sont à l'oeuvre et peuvent s'analyser de quatre angles de vue différents.
- La composante « Nouveaux Services », ces activités nouvelles qu'Ipsos a déployées à partir de 2014 et qui reflètent les approches innovantes mises en oeuvre pour mesurer mieux, plus vite et ainsi aider les clients à comprendre davantage leurs marchés continuent de progresser à un rythme élevé. Avec une croissance organique de 18 %, ils représentent ce semestre plus de 12 % du chiffre d'affaires, contre 7 % en 2014. Par comparaison, les approches plus traditionnelles subissent les conséquences d'efforts de productivité, liées entre autres à la poursuite de la transition vers une plus grande digitalisation des systèmes de collecte de données et aussi à la recherche d'une simplification accrue des protocoles de recherche.
- Certains marchés émergents, notamment en Asie-Pacifique et en Europe de l'Est, sont très contributifs de croissance à l'inverse d'autres zones plus difficiles, comme le Moyen-Orient ou le Brésil. De la même façon, au sein des marchés développés, certains pays comme le Royaume-Uni maintiennent un taux de croissance élevé alors que d'autres comme la France sont affectés par des événements spécifiques. L'activité à Paris n'a pas été bonne au premier semestre, les très longs processus électoraux et les incertitudes qu'ils engendrent rendant peu évidente la réalisation dans la même période d'études sur les produits, les marques, ou les communications commerciales. Au total, l'écart de croissance entre pays développés et pays émergents est redevenu important à 5 %. L'activité diminue de 1,3 % parmi les premiers alors qu'elle progresse de 3,3 % chez les seconds.
- Certains marchés sont spécialement affectés par le décalage constaté entre le volume des ventes enregistrées à un moment donné et le degré d'avancement dans l'exécution des programmes qui permettent de les comptabiliser dans le chiffre d'affaires effectivement reconnu. La transformation du mix des services vendus par Ipsos, déjà notée à la fin du premier trimestre et qui se traduit par l'accroissement du poids de grands programmes plus longs à exécuter, au détriment d'interventions plus courtes et plus ad-hoc a ses avantages, notamment de faciliter l'optimisation du travail des équipes. Elle a, pour conséquence négative, de retarder le moment où le niveau de chiffre d'affaires s'aligne sur le niveau du carnet de commande. À fin juin, les ventes d'Ipsos restent largement positives, pas très loin de l'objectif
annuel de 3 %, à taux de change et périmètre constants. Le décalage avec l'évolution du chiffre d'affaires publié (+0,1 %) est notable et équivalent à celui constaté à la fin du premier trimestre. Nous anticipons une progression sensible du chiffre d'affaires d'Ipsos au second semestre, surtout là où le décalage est très important, entre autres en Amérique du Nord et dans les activités liées à la mesure des médias et de la communication publicitaire. - La situation de la clientèle évolue elle aussi. Les entreprises intervenant dans le secteur de la grande consommation qui ont, jusqu'à une date récente, été les utilisateurs les plus importants, les plus globaux et, à certains égards, les plus innovants des services des sociétés d'étude de marché, sont questionnées sur leur capacité à croître et, en même temps, à améliorer leurs performances financières. Elles sont affectées par la vive concurrence d'acteurs locaux ou plus spécifiques et bien sûr, mobilisées par leurs propres processus de digitalisation. Dans ces conditions, leur souci légitime est de faire mieux tout en réduisant leurs dépenses. D'un côté, les entreprises de la grande consommation, surtout les plus grandes d'entre-elles, sont d'excellentes candidates à une utilisation systématique des nouvelles approches de recherche développées par Ipsos et d'autres. En même temps, les moyens qu'elles consacrent aux dépenses marketing sont en réduction, parfois de façon sensible. Au total, au premier semestre 2017, l'activité d'Ipsos avec ses clients du secteur de la grande consommation a diminué de 5 %, alors qu'elle a progressé significativement avec d'autres secteurs de clientèle tels que les laboratoires pharmaceutiques ou les institutions financières.
Évolution de l'activité par région et lignes de métier
Contribution au Chiffre d'affaires consolidé par zone géographique
(en millions d'euros) |
1
er
semestre
2017 | 1 er semestre 2016 | Évolution 2017/2016 | Croissance organique |
Europe, Moyen Orient et Afrique | 360,4 | 360,0 | 0,1 % | 3 % |
Amériques | 318,5 | 330,4 | - 3,6 % | - 5 % |
Asie-Pacifique | 154,9 | 143,1 | 8,2 % | 6 % |
Chiffre d'affaires semestriel | 833,8 | 833,6 | 0,0 % | 0,1 % |
Contribution au Chiffre d'affaires consolidé par ligne de métier
(en millions d'euros) | 1 er semestre 2017 | 1 er semestre 2016 | Évolution 2017/2016 | Croissance organique |
Études Médias et Expression des marques | 177,7 | 182,7 | - 2,8 % | - 3 % |
Études Marketing | 444,0 | 447,8 | - 0,9 % | - 0,5 % |
Études d'Opinion et Recherche sociale | 92,5 | 85,8 | 7,8 % | 9 % |
Études pour la gestion de la Relation Client / Salarié | 119,7 | 117,2 | 2,1 % | 1 % |
Chiffre d'affaires semestriel | 833,8 | 833,6 | 0,0 % | 0,1 % |
Performances financières
Compte de résultat résumé
En millions d'euros | S1 2017 | S1 2016 | Variation |
S1 2017 / S1 2016 | |||
Chiffre d'affaires | 833,8 | 833,6 | 0,0 % |
Marge brute | 544,2 | 545,0 | - 0,1 % |
Marge brute / CA | 65,3 % | 65,4 % | - |
Marge opérationnelle | 50,7 | 53,8 | - 5,7 % |
Marge opérationnelle / CA | 6,1 % | 6,5 % | - |
Autres charges et produits non courants / récurrents | (7,9) | 8,7 | - |
Charge de financement | (9,7) | (10,2) | - 5,2 % |
Impôts | (7,9) | (12,4) | - 36,3 % |
Résultat net ajusté*
part du groupe | 36,0 | 33,0 | 9,0 % |
* Le résultat net ajusté est calculé avant les éléments non monétaires liés à l'IFRS 2 (rémunérations en actions), avant l'amortissement des incorporels liés aux acquisitions (relations clients), avant les impôts différés passifs relatifs aux goodwills dont l'amortissement est déductible dans certains pays et avant l'impact net d'impôts des autres produits et charges non courants. |
La marge brute (qui se calcule en retranchant du chiffre d'affaires des coûts directs variables et externes liés à l'exécution des contrats) s'établit à 65,3 % contre 65,4 % au premier semestre 2016 (et 65,1 % pour l'ensemble de l'année 2016). Son évolution est à relier au poids des grands contrats qui est plus important sur ce semestre et dont les marges brutes sont souvent plus basses (ce qui ne présage en rien du niveau de marge opérationnelle de ces contrats). La poursuite de la digitalisation de la collecte de données et de la croissance des Nouveaux Services génère à l'inverse des marges brutes plus élevées.
En ce qui concerne les coûts d'exploitation, la masse salariale est en hausse de 0,6 %, les effectifs du groupe étant en progression de 1,5 % principalement dans les pays émergents, soit un personnel permanent de 16 845 au 30 juin 2017.
Le coût des rémunérations variables en action est stable à 5,1 millions d'euros.
Les frais généraux sont maîtrisés et diminuent de 1,9 %, notamment en raison d'économies de coûts de loyers.
Au total, les
coûts opérationnels
enregistrent des charges supplémentaires en relation avec le programme New Way pour lequel Ipsos a prévu 5 millions d'euros d'investissements supplémentaires courants en
2017 : 2,3 millions d'euros ont été dépensés au premier semestre 2017.
Les autres charges et produits opérationnels incluent principalement des effets de change transactionnels sur les postes du compte d'exploitation, qui sont négatifs de 2 millions d'euros sur le semestre alors qu'ils étaient positifs pour 1,3 millions d'euros au premier semestre 2016.
Au total, la marge opérationnelle du Groupe s'établit à 50,7 millions d'euros, soit un taux de 6,1 % rapporté au chiffre d'affaires, une baisse de 40 points de base par rapport à la même période de l'an dernier, en raison d'un volume de revenus stable et de l'investissement dans le programme New Way. Il est rappelé ici, qu'en raison de la saisonnalité de l'activité, la marge opérationnelle du premier semestre n'est pas indicative de celle de l'ensemble de l'année.
En dessous de la marge opérationnelle, les dotations aux amortissements des incorporels liés aux acquisitions concernent la partie des écarts d'acquisition affectée aux relations clients au cours des 12 mois suivant la date d'acquisition et faisaient l'objet d'un amortissement au compte de résultat selon les normes IFRS sur plusieurs années. Cette dotation s'élève à 2,4 millions d'euros contre 2,5 millions précédemment.
Le solde du poste
autres charges et produits non courants et non récurrents
s'établit à - 7,9 millions d'euros contre un produit net de 8,7 millions d'euros l'an dernier. Il prend en compte des éléments à caractère inhabituel non liés à l'exploitation et inclut les coûts d'acquisition ainsi que les coûts liés aux plans de restructuration en cours.
Il enregistrait en particulier, au premier semestre 2016, un produit net de 15,4 millions d'euros en relation avec le remboursement reçu d'Aegis en février 2016 pour solde de tout compte des litiges qui étaient nés suite à l'acquisition de Synovate réalisée en 2011. Par ailleurs, des dépenses de restructuration et de rationalisation dont certaines liées au programme New Way ont été constatées pour un total de 6,7 millions d'euros.
Les charges de financement . La charge d'intérêt nette s'élève à 9,7 millions d'euros contre 10,2 millions d'euros, en baisse de 5,2 % en raison de la baisse de ses conditions de crédit.
Impôts . Le taux effectif d'imposition au compte de résultat en norme IFRS s'établit à 26,8 % contre 25,6 % l'an dernier. Il intègre, comme par le passé, une charge d'impôts différés passifs de 1,3 millions d'euros (contre une charge de 2,1 millions au premier semestre 2016) qui vient annuler l'économie d'impôts réalisée grâce à la déductibilité fiscale des amortissements d'écarts d'acquisition dans certains pays, alors même que cette charge d'impôts différés ne serait due qu'en cas de cession des activités concernées, et qui est par conséquent retraitée dans le résultat net ajusté.
Le Résultat net, part du Groupe, s'établit à 21,6 millions d'euros contre 35,2 millions au premier semestre 2016, la variation étant pour l'essentiel liée au profit exceptionnel de 15,4 millions d'euros enregistré dans le poste « autres charges et produits non courants et non récurrents ».
Le Résultat net ajusté, part du Groupe , qui est l'indicateur pertinent et constant utilisé pour la mesure de la performance, s'établit à 36,0 millions d'euros en progression de 9,0 % par rapport au premier semestre 2016.
La structure financière
Flux nets de trésorerie libre.
La capacité d'autofinancement s'établit à 56,6 millions d'euros en ligne avec l'évolution du résultat d'exploitation.
- Le besoin en fonds de roulement connait une variation positive de 7,4 millions d'euros.
- Les investissements courants en immobilisations corporelles et incorporelles, principalement constitués d'investissements informatiques, sont stables à 7,7 millions d'euros.
En ce qui concerne les investissements non courants , Ipsos a investi 5,4 millions d'euros sur le semestre dans son programme d'acquisition, procédant notamment au rachat de minoritaires dans une société américaine et dans certains pays émergents (Amérique centrale notamment).
Par ailleurs, Ipsos a encaissé 3,8 millions d'euros en relation avec les levées de son plan de stock option IPF 2020, la dilution potentielle des 156 344 actions souscrites ayant pu être compensée par l'annulation d'un même nombre d'actions propres parmi celles rachetées en 2016.
Il est rappelé qu'Ipsos a investi en 2016 dans son programme de rachat d'actions notamment 65 millions d'euros en novembre 2016 dans le contexte du rachat d'un bloc de titres à sa holding de contrôle
LT Participations, opération préalable à la Fusion entre Ipsos et LT Participations intervenue le 29 décembre 2016.
Au 30 juin 2017, Ipsos possède 1 580 596 actions propres (3,6 % de son capital) affectés à la livraison de ses plans d'association de ses salariés.
Les
capitaux propres
s'établissent à 892 millions d'euros au 30 juin 2017 contre 939 millions publiés au 31 décembre 2016, après déduction des 36,4 millions d'euros de dividendes mis en paiement le 5 juillet 2017.
Les
dettes financières nettes
s'élèvent à 494 millions d'euros au 30 juin 2017 contre 544 millions d'euros au 31 décembre 2016, grâce à la bonne génération de flux de trésorerie d'exploitation mentionnée ci-dessus.
Le ratio d'endettement net est de 55,4 % contre 58,0 % au 31 décembre 2016.
Position de liquidité . La trésorerie en fin de semestre s'établit à 123 millions d'euros contre 127 millions d'euros au 31 décembre 2016, assurant une bonne position de liquidité à Ipsos qui dispose par ailleurs de plus de 300 millions d'euros de lignes de crédit disponibles.
PERSPECTIVES 2017
Ipsos intervient dans un marché en croissance : la demande d'informations et d'analyses en provenance des entreprises et des institutions publiques pour bien mesurer et bien comprendre la Société, le marché et in fine les personnes, ne faiblit pas. Ce marché est aussi en transformation car aujourd'hui, grâce à l'utilisation de nouvelles avancées du côté des sciences humaines, des modèles statistiques, des technologies et des savoir-faire, il est possible de mieux maîtriser l'information. C'est en utilisant la puissance de ces sciences et de ces technologies mais aussi la compétence de ses équipes et ceci en pleine confiance qu'Ipsos s'engage dans une nouvelle étape : celle où il pourra, de façon légitime, proposer à ses clients de les accompagner dans leur effort de compréhension juste, clair, accessible et complet de leurs propres marchés.
Grâce au programme New Way qui s'achève, comme prévu, à la fin de cette année, Ipsos a fait la démonstration que, grâce à l'innovation et, en l'occurrence, à la mise en oeuvre de Nouveaux Services, une société importante, déjà installée, pouvait tenir son rang et conserver la confiance de ses clients.
Le programme « Total Understanding » dont le principe et l'existence ont été rendus publics il y a déjà quelques mois va prendre le relais. Il s'appuie sur les enseignements du New Way. Il est, aussi, plus ambitieux. Son objectif est qu'Ipsos, à terme, puisse proposer à ses clients tous les moyens qui leur permettent de bien comprendre les comportements, les réactions, les aspirations de leur environnement, des marchés dans lesquels ils interviennent et des gens auxquels ils s'adressent. C'est à ce prix qu'une entreprise peut bâtir des positions concurrentielles gagnantes et aussi vérifier que les moyens qu'elle a décidé de mettre en oeuvre sont efficaces.
C'est en ayant la capacité de déployer une diversité suffisante de solutions d'investigation, d'analyses et de reporting, qu'Ipsos s'affirmera non seulement comme un fournisseur d'informations fiables et pertinentes mais également comme un partenaire dans la maîtrise des informations indispensables à la réussite des idées les plus novatrices et à la mise en oeuvre des plans les plus ambitieux.
Les contours précis du plan « Total Understanding » seront communiqués à l'occasion de la présentation des résultats annuels d'Ipsos en février 2018. D'ici là, les équipes d'Ipsos s'assureront de bien finir l'exercice 2017.
Pour atteindre l'objectif de 3 % de croissance organique en 2017 ainsi qu'il a été publié en début d'année, il serait nécessaire que les entreprises internationales du secteur de la grande consommation qui comptent parmi les plus anciens et plus importants clients d'Ipsos retrouvent leurs niveaux historiques moyens d'activité au deuxième semestre 2017.
Un autre scénario serait que l'activité de ces mêmes entreprises (avec Ipsos) se dégrade davantage ce qui conduirait le taux de croissance d'Ipsos entre 1 et 2 %.
Le premier scénario (le plus optimiste) est peu vraisemblable parce qu'il suppose que ces entreprises soient déjà adaptées à la « nouvelle donne », à ces nouveaux marchés plus fragmentés et volatiles et qu'Ipsos ait eu aussi le temps d'ajuster son offre de services à leurs nouveaux besoins.
Le second scénario (le plus pessimiste) est également peu vraisemblable car il supposerait une dégradation supplémentaire des ventes au second semestre additionnée à une persistance de certains décalages entre le niveau des ventes et le niveau de chiffre d'affaires reconnu.
En outre, la base de comparaison 2016/2017 sera plus favorable au deuxième semestre, notamment vers la fin de l'exercice.
Ceci dit, quel que soit le scénario, que la croissance soit en dessous de 2 % ou au-dessus de 2 %, la marge opérationnelle sera comme annoncée en progression légère par comparaison avec 2016.
Annexes
- Compte de résultat consolidé
- État de la situation financière
- État des flux de trésorerie consolidés
Une plaquette complète des états financiers consolidés
est disponible sur le site
www.ipsos.com
/en/investisseurs
La présentation de l'activité et des résultats du premier semestre 2017
sera disponible le 27 juillet sur le site
www.ipsos.com
/en/investisseurs
GAME CHANGERS
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Ipsos est coté sur l'Eurolist de NYSE-Euronext.
La société qui fait partie du SBF 120 et de l'indice Mid-60 est également éligible au SRD.
Code ISIN FR0000073298, Reuters ISOS.PA, Bloomberg IPS:FP
www.ipsos.com
Compte de résultat consolidé
Comptes semestriels au 30 juin 2017
en milliers d'euros | 30/06/2017 | 30/06/2016 | 31/12/2016 |
Chiffre d'affaires | 833 794 | 833 599 | 1 782 691 |
Coûts directs | (289 583) | (288 589) | (622 244) |
Marge brute | 544 211 | 545 010 | 1 160 446 |
Charges de personnel - hors rémunération en actions | (374 309) | (372 135) | (751 754) |
Charges de personnel - rémunération en actions * | (5 104) | (5 039) | (9 991) |
Charges générales d'exploitation | (111 727) | (113 873) | (220 646) |
Autres charges et produits opérationnels | (2 355) | (180) | 2 026 |
Marge opérationnelle | 50 716 | 53 784 | 180 080 |
Dotations aux amortissements des incorporels liés aux acquisitions * | (2 405) | (2 451) | (4 786) |
Autres charges et produits non courants | (7 973) | 8 742 | 143 |
Quote-part dans les résultats des entreprises associées | 69 | (48) | (46) |
Résultat opérationnel | 40 407 | 60 026 | 175 391 |
Charges de financement | (9 682) | (10 217) | (20 811) |
Autres charges et produits financiers * | (1 134) | (1 188) | (475) |
Résultat net avant impôts | 29 591 | 48 621 | 154 105 |
Impôts - hors impôts différés sur amortissement du goodwill | (6 622) | (10 286) | (37 765) |
Impôts différés sur amortissement du goodwill * | (1 308) | (2 162) | (6 582) |
Impôt sur les résultats | (7 930) | (12 447) | (44 347) |
Résultat net | 21 660 | 36 174 | 109 758 |
Dont part du Groupe | 21 558 | 35 179 | 106 897 |
Dont part des minoritaires | 103 | 995 | 2 861 |
Résultat net part du Groupe par action de base (en euros) | 0,50 | 0,78 | 2,40 |
Résultat net part du Groupe par action dilué (en euros) | 0,50 | 0,77 | 2,36 |
Résultat net ajusté * | 36 380 | 34 260 | 124 945 |
Dont Part du Groupe | 36 031 | 33 047 | 121 657 |
Dont Part des minoritaires | 349 | 1 213 | 3 288 |
Résultat net ajusté, part du groupe par action | 0,84 | 0,73 | 2,73 |
Résultat net ajusté dilué, part du groupe par action | 0,83 | 0,72 | 2,69 |
* ajusté des éléments non monétaires liés à l'IFRS 2 (rémunération en actions), de l'amortissement des incorporels liés aux acquisitions (relations clients), des impôts différés passifs relatifs aux goodwills dont l'amortissement est déductible dans certains pays et de l'impact net d'impôts des autres produits et charges non courants et impacts non monétaires sur variations de puts en autres charges et produits financiers.
État de la situation financière
Comptes semestriels au 30 juin 2017
en milliers d'euros | 30/06/2017 | 30/06/2016 | 31/12/2016 |
ACTIF | |||
Goodwills | 1 198 102 | 1 241 637 | 1 259 193 |
Autres immobilisations incorporelles | 64 624 | 74 455 | 71 489 |
Immobilisations corporelles | 32 834 | 34 225 | 35 517 |
Participation dans les entreprises associées | 557 | 206 | 207 |
Autres actifs financiers non courants | 20 001 | 16 938 | 22 547 |
Impôts différés actifs | 18 724 | 13 884 | 18 184 |
Actifs non courants | 1 334 842 | 1 381 345 | 1 407 138 |
Clients et comptes rattachés | 524 548 | 552 754 | 624 406 |
Impôts courants | 26 670 | 21 442 | 15 204 |
Autres actifs courants | 87 408 | 88 286 | 78 677 |
Instruments financiers dérivés | 2 898 | 6 804 | 3 399 |
Trésorerie et équivalents de trésorerie | 123 082 | 126 686 | 164 892 |
Actifs courants | 764 606 | 795 972 | 886 579 |
TOTAL ACTIF | 2 099 448 | 2 177 318 | 2 293 717 |
en milliers d'euros | 30/06/2017 | 30/06/2016 | 31/12/2016 |
PASSIF | |||
Capital | 11 109 | 11 334 | 11 109 |
Primes d'émission | 516 275 | 540 201 | 516 489 |
Actions propres | (41 547) | (808) | (55 905) |
Autres réserves | 472 063 | 417 092 | 492 737 |
Ecarts de conversion | (82 611) | (56 785) | (44 819) |
Capitaux propres - part du Groupe | 875 289 | 911 034 | 919 612 |
Intérêts minoritaires | 17 412 | 20 569 | 19 805 |
Capitaux propres | 892 701 | 931 603 | 939 417 |
Emprunts et autres passifs financiers non courants | 540 539 | 582 792 | 626 152 |
Provisions non courantes | 9 150 | 7 465 | 9 230 |
Provisions pour retraites | 28 154 | 25 592 | 28 029 |
Impôts différés passifs | 97 122 | 97 897 | 100 432 |
Autres passifs non courants | 21 663 | 40 291 | 21 159 |
Passifs non courants | 696 629 | 754 037 | 785 002 |
Fournisseurs et comptes rattachés | 226 417 | 230 578 | 262 865 |
Emprunts et autres passifs financiers courants | 79 717 | 53 230 | 86 662 |
Impôts courants | 4 586 | 6 059 | 11 104 |
Provisions courantes | 8 685 | 10 147 | 9 664 |
Autres passifs courants | 190 713 | 191 663 | 199 005 |
Passifs courants | 510 118 | 491 677 | 569 300 |
TOTAL PASSIF | 2 099 448 | 2 177 318 | 2 293 717 |
État des flux de trésorerie consolidé s
Comptes semestriels au 30 juin 2017
en milliers d'euros | 30/06/2017 | 30/06/2016 | 31/12/2016 |
OPERATIONS D'EXPLOITATION | |||
RESULTAT NET | 21 660 | 36 174 | 109 758 |
Eléments sans incidence sur la capacité d'autofinancement | |||
Amortissements des immobilisations corporelles et incorporelles | 12 796 | 12 754 | 25 970 |
Résultat net des sociétés mises en équivalence, nets des dividendes reçus | (69) | 48 | 46 |
Moins-value (plus-value) sur cessions d'actifs | (118) | 203 | 2 481 |
Variation nette des provisions | 25 | (15 537) | (12 702) |
Rémunération en actions | 4 747 | 4 893 | 9 737 |
Autres produits et charges calculés | (109) | 14 | 978 |
Frais d'acquisition de sociétés consolidées | 132 | 1 184 | 1 325 |
Charge de financement | 9 682 | 10 217 | 20 811 |
Charge d'impôt | 7 930 | 12 447 | 44 347 |
CAPACITE D'AUTOFINANCEMENT AVANT CHARGES DE FINANCEMENT ET IMPOT | 56 676 | 62 398 | 202 752 |
Variation du besoin en fonds de roulement | 7 383 | 26 191 | 22 819 |
Intérêts financiers nets payés | (9 715) | (9 623) | (20 351) |
Impôts payés | (24 707) | (15 838) | (38 046) |
FLUX DE TRESORERIE PROVENANT DE L'EXPLOITATION | 29 637 | 63 128 | 167 174 |
OPERATIONS D'INVESTISSEMENT | |||
Acquisitions d'immobilisations corporelles et incorporelles | (7 850) | (8 136) | (17 631) |
Produits des cessions d'actifs corporels et incorporels | 200 | 879 | 133 |
Augmentation / (diminution) d'immobilisations financières | 1 024 | (374) | (1 070) |
Acquisitions de sociétés et d'activités consolidés nettes de trésorerie acquise | - | 22 425 | 23 900 |
FLUX DE TRESORERIE AFFECTES AUX OPERATIONS D'INVESTISSEMENT | (6 627) | 14 794 | 5 332 |
OPERATIONS DE FINANCEMENT | |||
Augmentation / (Réduction) de capital | - | - | (225) |
(Achats) / Ventes nets d'actions propres | 3 790 | (6 163) | (85 050) |
Augmentation / (diminution) des emprunts à long terme | (57 170) | (63 561) | (1 688) |
Augmentation / (diminution) des découverts bancaires | (338) | 1 672 | 491 |
Rachats d'intérêts minoritaires | (5 441) | (32 283) | (33 312) |
Dividendes versés aux actionnaires de la société mère | - | - | (36 358) |
Dividendes versés aux minoritaires des sociétés intégrées | - | (465) | (431) |
FLUX DE TRESORERIE PROVENANT DES OPERATIONS DE FINANCEMENT | (59 159) | (100 801) | (156 575) |
VARIATION NETTE DE LA TRESORERIE | (36 149) | (22 879) | 15 932 |
Incidence des variations des cours des devises sur la trésorerie | (5 662) | (2 010) | (2 615) |
TRESORERIE A L'OUVERTURE | 164 892 | 151 576 | 151 576 |
TRESORERIE A LA CLOTURE | 123 082 | 126 686 | 164 892 |
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Source: IPSOS via Globenewswire