Ford: Jefferies relève légèrement sa cible information fournie par Cercle Finance 12/05/2025 à 14:54
(CercleFinance.com) - Jefferies maintient sa note de ' sous-performance ' sur le titre Ford Motor, avec un objectif de cours relevé de 7 à 8 dollars.
Le constructeur a indiqué que les droits de douane ne constituaient pas son principal défi : en effet, à court terme, le groupe compense partiellement l'impact des ' tarifs ' US grâce à la Proclamation 10908 qui permet de moduler les effets des droits de douane en offrant une forme de compensation basée sur les revenus réalisés par les activités d'assemblage aux États-Unis.
Ford anticipe désormais un impact net des droits de douane de 2,5 Md$, contre 4,5 Md$ estimés jusqu'alors par Jefferies.
L'analyste rapporte que le T1 est ainsi ressorti ' moins négatif que redouté ', avec un EBIT supérieur d'1 Md$ à ce qu'anticipait le management.
Jefferies relève d'ailleurs sa prévision de résultat d'exploitation du groupe de 42 %, à 6,8 milliards de dollars, soit légèrement en dessous de l'ancienne fourchette de 7,0 à 8,5 milliards.
La situation reste toutefois fragile, l'analyste évoquant notamment des provisions de garantie excédant 10 Md$ depuis 2020 ; une exposition problématique à l'Europe (faible part de marché, dépendance à VW pour les VE) ; une stratégie peu lisible après l'abandon du FNV4 (un ambitieux projet de plateforme de véhicule défini par logiciel) ou encore une structure financière ' juste suffisante '.
Le constructeur a indiqué que les droits de douane ne constituaient pas son principal défi : en effet, à court terme, le groupe compense partiellement l'impact des ' tarifs ' US grâce à la Proclamation 10908 qui permet de moduler les effets des droits de douane en offrant une forme de compensation basée sur les revenus réalisés par les activités d'assemblage aux États-Unis.
Ford anticipe désormais un impact net des droits de douane de 2,5 Md$, contre 4,5 Md$ estimés jusqu'alors par Jefferies.
L'analyste rapporte que le T1 est ainsi ressorti ' moins négatif que redouté ', avec un EBIT supérieur d'1 Md$ à ce qu'anticipait le management.
Jefferies relève d'ailleurs sa prévision de résultat d'exploitation du groupe de 42 %, à 6,8 milliards de dollars, soit légèrement en dessous de l'ancienne fourchette de 7,0 à 8,5 milliards.
La situation reste toutefois fragile, l'analyste évoquant notamment des provisions de garantie excédant 10 Md$ depuis 2020 ; une exposition problématique à l'Europe (faible part de marché, dépendance à VW pour les VE) ; une stratégie peu lisible après l'abandon du FNV4 (un ambitieux projet de plateforme de véhicule défini par logiciel) ou encore une structure financière ' juste suffisante '.