Estée Lauder: le bénéfice 2025/2026 vu en dessous des attentes information fournie par Cercle Finance 20/08/2025 à 12:35
(Zonebourse.com) - Estée Lauder est attendu en forte baisse mercredi matin à la Bourse de New York après avoir averti que son bénéfice sur le nouvel exercice fiscal 2025/2026 n'atteindrait pas les prévisions du marché.
A l'occasion de la publication de ses résultats annuels 2024/2025, le groupe de cosmétique américain - en pleine réorganisation - a déclaré prévoir un bénéfice par action (BPA) compris entre 1,90 et 2,10 dollars sur l'exercice qui se clôturera le 30 juin 2026, à comparer avec 1,51 dollar sur l'exercice qui s'est bouclé en juin dernier.
Cet objectif se relève inférieur aux prévisions établies par les analystes, puisque le consensus de marché pour l'exercice en cours ressortait jusqu'ici à 2,22 dollars.
Dans son communiqué, le groupe new-yorkais indique s'attendre à ce que l'instauration des nouveaux droits de douane pèsent sur sa rentabilité à hauteur de 100 millions de dollars sur le nouvel exercice.
Après avoir aligné trois exercices consécutifs de décroissance organique au niveau de ses ventes, Estée Lauder dit prévoir un retour à une croissance organique positive sur l'exercice, notamment grâce aux progrès effectués dans le cadre de son plan stratégique 'Beauty Reimagined'.
Hors élément exceptionnels (non-GAAP), celle-ci devrait ainsi s'établir entre 0% et 3% sur les 12 mois au 30 juin 2026, selon ses prévisions.
Stéphane de La Faverie, le directeur général, dit aussi vouloir redresser la rentabilité de l'entreprise en dégageant une marge opérationnelle ajustée 'solide' et 'à deux chiffres' au cours des trois prochaines années.
Sur l'exercice clos le 30 juin dernier, sa marge opérationnelle ajustée s'est tassée à 8%, contre 10,2% sur l'exercice précédent, sur la base d'un chiffre d'affaires annuel en baisse de 8% en données publiées comme en données organiques.
In fine, son résultat opérationnel ressort en perte de 785 millions de dollars sur l'exercice écoulé, à comparer avec un profit de 970 millions sur l'exercice précédent.
A Wall Street, l'action Estée Lauder accusait des pertes de plus de 12% mercredi matin en préouverture dans le sillage de cette publication.
A l'occasion de la publication de ses résultats annuels 2024/2025, le groupe de cosmétique américain - en pleine réorganisation - a déclaré prévoir un bénéfice par action (BPA) compris entre 1,90 et 2,10 dollars sur l'exercice qui se clôturera le 30 juin 2026, à comparer avec 1,51 dollar sur l'exercice qui s'est bouclé en juin dernier.
Cet objectif se relève inférieur aux prévisions établies par les analystes, puisque le consensus de marché pour l'exercice en cours ressortait jusqu'ici à 2,22 dollars.
Dans son communiqué, le groupe new-yorkais indique s'attendre à ce que l'instauration des nouveaux droits de douane pèsent sur sa rentabilité à hauteur de 100 millions de dollars sur le nouvel exercice.
Après avoir aligné trois exercices consécutifs de décroissance organique au niveau de ses ventes, Estée Lauder dit prévoir un retour à une croissance organique positive sur l'exercice, notamment grâce aux progrès effectués dans le cadre de son plan stratégique 'Beauty Reimagined'.
Hors élément exceptionnels (non-GAAP), celle-ci devrait ainsi s'établir entre 0% et 3% sur les 12 mois au 30 juin 2026, selon ses prévisions.
Stéphane de La Faverie, le directeur général, dit aussi vouloir redresser la rentabilité de l'entreprise en dégageant une marge opérationnelle ajustée 'solide' et 'à deux chiffres' au cours des trois prochaines années.
Sur l'exercice clos le 30 juin dernier, sa marge opérationnelle ajustée s'est tassée à 8%, contre 10,2% sur l'exercice précédent, sur la base d'un chiffre d'affaires annuel en baisse de 8% en données publiées comme en données organiques.
In fine, son résultat opérationnel ressort en perte de 785 millions de dollars sur l'exercice écoulé, à comparer avec un profit de 970 millions sur l'exercice précédent.
A Wall Street, l'action Estée Lauder accusait des pertes de plus de 12% mercredi matin en préouverture dans le sillage de cette publication.