Devises : rebond symbolique du $, l'E campe au-delà de 1,14$ information fournie par Cercle Finance 29/04/2025 à 19:18
(CercleFinance.com) - Une séance de mardi plutôt calme sur le FOREX, avec un '$-Index' qui reprend symboliquement 0,1% (vers 99,1), avec une progression un peu plus marquée face au Franc suisse (+0,4%), de +0,2% face à l'Euro (qui retombe vers 1,1400), les autres variations étant non significatives.
Le Dollar a bien encaissé l'unique 'stat' du jour qui n'était pas brillante aux Etats Unis : la confiance des consommateurs américains s'avère 'pire que prévu'.
Elle se dégrade de -7,9 points pour s'établir à 86 pour le mois qui s'achève, contre 93,9 en mars.
L'enquête mensuelle du Conference Board précise que si l'indice de la situation présente ne s'est tassé que de 0,9 point à 133,5, celui des attentes -le plus surveillé- a plongé de 12,5 points à 54,4, atteignant ainsi son plus bas niveau depuis octobre 2011.
L'indice des attentes -basé sur les perspectives à court terme pour les revenus, les affaires et les conditions du marché du travail- ressort aussi bien inférieur au seuil des 80, qui signale habituellement une récession à venir.
Même thématique, même punition en Europe : l'indice du sentiment économique (ESI) a baissé de 1,4 point en avril 2025 dans l'ensemble de l'Union européenne (à 94,4) comme dans la zone euro (à 93,6), selon les résultats de l'enquête mensuelle de la Commission européenne.
De mauvais chiffres augmentent la probabilité de voir la BCE réduire par 2 fois son taux directeur d'ici fin 2025 (Christine Lagarde penche pour 1 seul assouplissement).
Pour en revenir à la morosité des ménages dans l'UE, le déclin de l'indice reflète une baisse marquée des ventes au détail et dans une moindre mesure dans les services, alors qu'elle est restée à peu près stable dans l'industrie et la construction.
L'indicateur des anticipations d'emploi (IEE) a continué de reculer dans l'UE (-0,7 point à 96,9), tandis qu'il est resté inchangé dans la zone euro (à 96,5). Les deux indicateurs obtiennent ainsi des résultats inférieurs à leurs moyennes à long terme respectives.
Demain, les investisseurs découvriront les premières estimations de la croissance au 1er trimestre aux Etats-Unis et en zone euro : l'avalanche d'indicateurs économiques attendus aux US prendra l'allure d'un 'Super Wednesday'.
Le Dollar a bien encaissé l'unique 'stat' du jour qui n'était pas brillante aux Etats Unis : la confiance des consommateurs américains s'avère 'pire que prévu'.
Elle se dégrade de -7,9 points pour s'établir à 86 pour le mois qui s'achève, contre 93,9 en mars.
L'enquête mensuelle du Conference Board précise que si l'indice de la situation présente ne s'est tassé que de 0,9 point à 133,5, celui des attentes -le plus surveillé- a plongé de 12,5 points à 54,4, atteignant ainsi son plus bas niveau depuis octobre 2011.
L'indice des attentes -basé sur les perspectives à court terme pour les revenus, les affaires et les conditions du marché du travail- ressort aussi bien inférieur au seuil des 80, qui signale habituellement une récession à venir.
Même thématique, même punition en Europe : l'indice du sentiment économique (ESI) a baissé de 1,4 point en avril 2025 dans l'ensemble de l'Union européenne (à 94,4) comme dans la zone euro (à 93,6), selon les résultats de l'enquête mensuelle de la Commission européenne.
De mauvais chiffres augmentent la probabilité de voir la BCE réduire par 2 fois son taux directeur d'ici fin 2025 (Christine Lagarde penche pour 1 seul assouplissement).
Pour en revenir à la morosité des ménages dans l'UE, le déclin de l'indice reflète une baisse marquée des ventes au détail et dans une moindre mesure dans les services, alors qu'elle est restée à peu près stable dans l'industrie et la construction.
L'indicateur des anticipations d'emploi (IEE) a continué de reculer dans l'UE (-0,7 point à 96,9), tandis qu'il est resté inchangé dans la zone euro (à 96,5). Les deux indicateurs obtiennent ainsi des résultats inférieurs à leurs moyennes à long terme respectives.
Demain, les investisseurs découvriront les premières estimations de la croissance au 1er trimestre aux Etats-Unis et en zone euro : l'avalanche d'indicateurs économiques attendus aux US prendra l'allure d'un 'Super Wednesday'.