CAC40: reste proche des 8230Pts après une avalanche de résultats information fournie par Zonebourse 23/10/2025 à 11:42
Après ses plus hauts historiques inscrits en début de semaine, le Bourse de Paris affiche une légère hausse jeudi matin, dans des marchés où l'attention reste largement focalisée sur la dernière avalanche de résultats trimestriels, à commencer par les performances contrastées publiées la veille par les géants technologiques américains. L'indice CAC40 progresse de 0,2% à 8228 points, au-dessus du seuil des 8200 points qui avait été repris cette semaine.
Même si les investisseurs n'en attendaient rien de flamboyant, la saison des résultats a bien démarré aux Etats-Unis comme en Europe, à tel point que la dynamique boursière est clairement repartie à la hausse, ce qui a permis aux grands indices mondiaux de se rapprocher de leurs zéniths, voire d'établir de nouveaux records.
Le rythme des publications va encore s'accélérer aujourd'hui, avec un déluge de résultats des deux côtés de l'Atlantique qui pourraient de nouveau réserver de bonnes nouvelles et entretenir la trajectoire ascendante des marchés.
Plusieurs ténors de la cote européenne comme Dassault Systèmes, Nokia, Orange, Renault, Roche ou encore STMicroelectronics ont ainsi dévoilé leurs comptes ce matin.
Mais les publications contrastées de Tesla et IBM, tombées hier soir, pourraient pousser les intervenants à se montrer plus hésitants.
Tesla est attendu en baisse de 3,5% jeudi à Wall Street après avoir présenté mercredi après la clôture des marchés un bénéfice trimestriel inférieur aux attentes.
IBM devrait lui aussi prendre le chemin de la baisse en dépit de performances meilleures que prévu et d'un relèvement de ses prévisions, qui servent de prétexte à des prises de bénéfices alors que le titre s'est envolé de 31% cette année.
Les traders pourraient cependant décider de ces accès de faiblesse pour rentrer à l'achat, conformément à la stratégie dite 'buy the dips' qui portent les marchés américains depuis plusieurs mois.
En France, l'indicateur synthétique du climat des affaires, calculé à partir des réponses des chefs d'entreprise, gagne un point en octobre après cinq mois de stabilité. À 97, il reste néanmoins en deçà de sa moyenne de longue période (100) depuis juillet 2024.
L'Insee, qui publie ces chiffres, précise que le climat des affaires s'éclaircit nettement dans l'industrie (+4 points à 101) et le commerce de détail (+7 points à 99), mais s'assombrit dans les services et le bâtiment (-0,2 point à 96 dans les deux cas).
La perspective de la publication, demain, des derniers chiffres de l'inflation aux Etats-Unis et des indicateurs d'activité PMI en Europe pourrait par ailleurs détourner momentanément l'attention du marché des publications trimestrielles.
Les tensions géopolitiques semblent, en outre, avoir quelque peu assombri l'horizon qui s'était dégagé avec le solide démarrage de la saison des résultats.
Le gouvernement américain a annoncé hier soir avoir imposé des sanctions contre Rosneft et Lukoil, les deux principaux producteurs de pétrole russe, afin de pousser Vladimir Poutine à négocier la fin de la guerre en Ukraine, ce qui a pour effet immédiat de pousser les cours de l'or noir à la hausse.
Avec des gains de plus de 2,1%, le baril de Brent se rapproche des 65,7 dollars et le WTI américain bondit de presque 2,3% autour de 61,5 dollars.
Le dollar remonte en conséquence face à l'euro, mais la monnaie unique parvient à préserver le support de 1,16 face alors que son potentiel de baisse apparaît néanmoins limité dans la perspective d'un maintien des taux de la BCE la semaine prochaine.
Même si les investisseurs n'en attendaient rien de flamboyant, la saison des résultats a bien démarré aux Etats-Unis comme en Europe, à tel point que la dynamique boursière est clairement repartie à la hausse, ce qui a permis aux grands indices mondiaux de se rapprocher de leurs zéniths, voire d'établir de nouveaux records.
Le rythme des publications va encore s'accélérer aujourd'hui, avec un déluge de résultats des deux côtés de l'Atlantique qui pourraient de nouveau réserver de bonnes nouvelles et entretenir la trajectoire ascendante des marchés.
Plusieurs ténors de la cote européenne comme Dassault Systèmes, Nokia, Orange, Renault, Roche ou encore STMicroelectronics ont ainsi dévoilé leurs comptes ce matin.
Mais les publications contrastées de Tesla et IBM, tombées hier soir, pourraient pousser les intervenants à se montrer plus hésitants.
Tesla est attendu en baisse de 3,5% jeudi à Wall Street après avoir présenté mercredi après la clôture des marchés un bénéfice trimestriel inférieur aux attentes.
IBM devrait lui aussi prendre le chemin de la baisse en dépit de performances meilleures que prévu et d'un relèvement de ses prévisions, qui servent de prétexte à des prises de bénéfices alors que le titre s'est envolé de 31% cette année.
Les traders pourraient cependant décider de ces accès de faiblesse pour rentrer à l'achat, conformément à la stratégie dite 'buy the dips' qui portent les marchés américains depuis plusieurs mois.
En France, l'indicateur synthétique du climat des affaires, calculé à partir des réponses des chefs d'entreprise, gagne un point en octobre après cinq mois de stabilité. À 97, il reste néanmoins en deçà de sa moyenne de longue période (100) depuis juillet 2024.
L'Insee, qui publie ces chiffres, précise que le climat des affaires s'éclaircit nettement dans l'industrie (+4 points à 101) et le commerce de détail (+7 points à 99), mais s'assombrit dans les services et le bâtiment (-0,2 point à 96 dans les deux cas).
La perspective de la publication, demain, des derniers chiffres de l'inflation aux Etats-Unis et des indicateurs d'activité PMI en Europe pourrait par ailleurs détourner momentanément l'attention du marché des publications trimestrielles.
Les tensions géopolitiques semblent, en outre, avoir quelque peu assombri l'horizon qui s'était dégagé avec le solide démarrage de la saison des résultats.
Le gouvernement américain a annoncé hier soir avoir imposé des sanctions contre Rosneft et Lukoil, les deux principaux producteurs de pétrole russe, afin de pousser Vladimir Poutine à négocier la fin de la guerre en Ukraine, ce qui a pour effet immédiat de pousser les cours de l'or noir à la hausse.
Avec des gains de plus de 2,1%, le baril de Brent se rapproche des 65,7 dollars et le WTI américain bondit de presque 2,3% autour de 61,5 dollars.
Le dollar remonte en conséquence face à l'euro, mais la monnaie unique parvient à préserver le support de 1,16 face alors que son potentiel de baisse apparaît néanmoins limité dans la perspective d'un maintien des taux de la BCE la semaine prochaine.