CAC40 : reste morose malgré 3 nouveaux records des indices US information fournie par Zonebourse 22/09/2025 à 17:22
La Bourse de Paris entame le 4ème trimestre boursier sur une note légèrement baissière, les nouveaux records inscrits par le Nasdaq et le S&P5500 n'y changent rien.
L'actualité de la semaine sera dominée par des prises de paroles de membres de la FED -dont J.Powell- let quelques indicateurs majeurs mériteront d'être surveillés.
L'indice CAC 40 s'effrite de -0,3 à -0,4% alors que l'Euro-Stoxx50 perd -0,3%, dans le sillage du DAX40 avec -0,6%.
Wall Street semble inarrêtable avec un 9ème record en 10 séances pour le S&P500 (le 3ème consécutif) qui gagne +0,2§% à 6.676Pts, le Nasdaq grappille également +0,2% à 24.670., le Dow Jones prend 0,1% et à 46.360 alignerait un 3ème record de clôture.
Porté comme le reste des places mondiales par la première baisse de taux de l'année décidée par la Réserve fédérale américaine, le marché parisien avait réussi vendredi à boucler une seconde semaine consécutive de hausse en parvenant à afficher un gain hebdomadaire de quelque 0,4%.
Le discours plutôt accommodant tenue par la banque centrale a surtout permis aux actions française de récupérer les pertes accusées depuis le 25 août dernier et l'annonce par François Bayrou de son intention de solliciter un vote de confiance de l'Assemblée nationale, nouvelle illustration de l'instabilité économique qui règne désormais dans l'Hexagone.
Les indices américains ont quant à eux réussi à aligner 5 nouveaux records la semaine dernière (6 consécutifs pour le S&P500), portés par l'approche confiante de la Fed qui n'anticipe pas de récession et la perspective de deux nouvelles baisses de taux d'ici à la fin de l'année.
En esquissant une stratégie d'assouplissement monétaire visant à soutenir le marché de l'emploi, l'institution a établi une feuille de route claire à même de lever les inquiétudes des investisseurs, qui ont tranquillement pu reprendre leurs achats, en particulier sur les valeurs technologiques.
Septembre est historiquement un mois difficile pour Wall Street, mais la tendance positive de 2024 semble se répéter cette année.
Le S&P 500, l'indice de référence des gérant américains, vient ainsi d'enchaîner six semaines de hausse sur sept. Il s'est adjugé plus de 3% depuis la fin du mois d'aoûût et +15% au 3ème trimestre.
L'événement majeur du mois étant désormais passé, les investisseurs vont pouvoir digérer cette semaine les dernière statistiques économiques afin de se faire une idée de la conjoncture, en espérant que les chiffres à venir confirmeront le scénario d'un atterrissage en douceur de l'activité évoqué par la Fed.
De l'autre côté de l'Atlantique, le gouvernement américain publiera jeudi sa troisième et dernière estimation de la croissance du PIB au deuxième trimestre, qui sera suivie la lendemain par les chiffres de revenus et dépenses des ménages pour août, accompagnés d'une nouvelle mesure de l'indice des prix PCE, considéré comme l'indicateur d'inflation de référence de la Fed.
En Europe, la publication économique la plus attendue de la semaine sera celle des indicateurs PMI 'flash' pour le mois de septembre, attendue demain. Les analystes anticipent une amélioration progressive de l'activité manufacturière, tandis que la croissance des services devrait s'être légèrement tassée depuis août.
Le dollar rechute après quatre séances consécutives de rebond: il reperd 0,2% par rapport à l'euro (1,1765) sur fond de questionnements quant à l'évolution de la politique monétaire que la Réserve fédérale adoptera à horizon 2026.
A l'instar du dollar, les rendements obligataires américains ne sont pas au mieux en l'attente d'indications plus claires sur le nombre de baisse des taux à attendre l'an prochain.
Le rendement des Treasuries à dix ans reste proche de 4,136% (contre 4,14% vendredi), le '30 ans' reste stable à 4,755%. mais la tendance pourrait évoluer au gré des prises de paroles des gouverneurs de la Fed prévues dans les jours qui viennent.
En Europe, le Bund efface -0,4Pt à 2,74680%, l'OAT reste stable à 3,555%.
Stephen Miran, le dernier arrivé au sein du FOMC, s'exprimera cet après-midi sur la politique monétaire à l'occasion d'une conférence économique organisée à New York, avant les discours très attendus que tiendront Michelle Bowman et surtout Jerome Powell à l'occasion d'événements distincts.
Les prix du pétrole continuent de chuter avec -0,6% près de 66,50 dollars le baril et un brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) qui perd 0,% à près de 62 dollars.
L'or, qui avait atteint de nouveaux records dans le sillage des annonces de la Fed avant de corriger en fin de semaine dernière, se remet dans le bon sens de la marche et avance de 0,6% à 3.730 dollars l'once, non loin de récents plus hauts, même si certains opérateurs soulignent que la demande semble s'essouffler au-dessus du seuil des 3700 dollars.
L'actualité de la semaine sera dominée par des prises de paroles de membres de la FED -dont J.Powell- let quelques indicateurs majeurs mériteront d'être surveillés.
L'indice CAC 40 s'effrite de -0,3 à -0,4% alors que l'Euro-Stoxx50 perd -0,3%, dans le sillage du DAX40 avec -0,6%.
Wall Street semble inarrêtable avec un 9ème record en 10 séances pour le S&P500 (le 3ème consécutif) qui gagne +0,2§% à 6.676Pts, le Nasdaq grappille également +0,2% à 24.670., le Dow Jones prend 0,1% et à 46.360 alignerait un 3ème record de clôture.
Porté comme le reste des places mondiales par la première baisse de taux de l'année décidée par la Réserve fédérale américaine, le marché parisien avait réussi vendredi à boucler une seconde semaine consécutive de hausse en parvenant à afficher un gain hebdomadaire de quelque 0,4%.
Le discours plutôt accommodant tenue par la banque centrale a surtout permis aux actions française de récupérer les pertes accusées depuis le 25 août dernier et l'annonce par François Bayrou de son intention de solliciter un vote de confiance de l'Assemblée nationale, nouvelle illustration de l'instabilité économique qui règne désormais dans l'Hexagone.
Les indices américains ont quant à eux réussi à aligner 5 nouveaux records la semaine dernière (6 consécutifs pour le S&P500), portés par l'approche confiante de la Fed qui n'anticipe pas de récession et la perspective de deux nouvelles baisses de taux d'ici à la fin de l'année.
En esquissant une stratégie d'assouplissement monétaire visant à soutenir le marché de l'emploi, l'institution a établi une feuille de route claire à même de lever les inquiétudes des investisseurs, qui ont tranquillement pu reprendre leurs achats, en particulier sur les valeurs technologiques.
Septembre est historiquement un mois difficile pour Wall Street, mais la tendance positive de 2024 semble se répéter cette année.
Le S&P 500, l'indice de référence des gérant américains, vient ainsi d'enchaîner six semaines de hausse sur sept. Il s'est adjugé plus de 3% depuis la fin du mois d'aoûût et +15% au 3ème trimestre.
L'événement majeur du mois étant désormais passé, les investisseurs vont pouvoir digérer cette semaine les dernière statistiques économiques afin de se faire une idée de la conjoncture, en espérant que les chiffres à venir confirmeront le scénario d'un atterrissage en douceur de l'activité évoqué par la Fed.
De l'autre côté de l'Atlantique, le gouvernement américain publiera jeudi sa troisième et dernière estimation de la croissance du PIB au deuxième trimestre, qui sera suivie la lendemain par les chiffres de revenus et dépenses des ménages pour août, accompagnés d'une nouvelle mesure de l'indice des prix PCE, considéré comme l'indicateur d'inflation de référence de la Fed.
En Europe, la publication économique la plus attendue de la semaine sera celle des indicateurs PMI 'flash' pour le mois de septembre, attendue demain. Les analystes anticipent une amélioration progressive de l'activité manufacturière, tandis que la croissance des services devrait s'être légèrement tassée depuis août.
Le dollar rechute après quatre séances consécutives de rebond: il reperd 0,2% par rapport à l'euro (1,1765) sur fond de questionnements quant à l'évolution de la politique monétaire que la Réserve fédérale adoptera à horizon 2026.
A l'instar du dollar, les rendements obligataires américains ne sont pas au mieux en l'attente d'indications plus claires sur le nombre de baisse des taux à attendre l'an prochain.
Le rendement des Treasuries à dix ans reste proche de 4,136% (contre 4,14% vendredi), le '30 ans' reste stable à 4,755%. mais la tendance pourrait évoluer au gré des prises de paroles des gouverneurs de la Fed prévues dans les jours qui viennent.
En Europe, le Bund efface -0,4Pt à 2,74680%, l'OAT reste stable à 3,555%.
Stephen Miran, le dernier arrivé au sein du FOMC, s'exprimera cet après-midi sur la politique monétaire à l'occasion d'une conférence économique organisée à New York, avant les discours très attendus que tiendront Michelle Bowman et surtout Jerome Powell à l'occasion d'événements distincts.
Les prix du pétrole continuent de chuter avec -0,6% près de 66,50 dollars le baril et un brut léger américain (West Texas Intermediate, WTI) qui perd 0,% à près de 62 dollars.
L'or, qui avait atteint de nouveaux records dans le sillage des annonces de la Fed avant de corriger en fin de semaine dernière, se remet dans le bon sens de la marche et avance de 0,6% à 3.730 dollars l'once, non loin de récents plus hauts, même si certains opérateurs soulignent que la demande semble s'essouffler au-dessus du seuil des 3700 dollars.