CAC 40: les actions font du surplace avant le réveillon de Noël information fournie par Zonebourse 24/12/2025 à 08:30
La Bourse de Paris devrait ouvrir autour de l'équilibre mercredi matin dans un marché qui s'annonce étroit à l'orée d'une séance écourtée avant le long week-end de Noël, avec des indices mondiaux qui culminent toujours à des niveaux records.
Vers 8h15, le contrat "future" sur l'indice CAC 40 - livraison janvier - recule d'environ 0,3% à 8 103,3 points, laissant entrevoir un début de séance étale, dans le prolongement de la tendance stable à l'oeuvre depuis maintenant quasiment un mois.
Nombre d'intervenants de marché étant déjà partis en vacances, les volumes d'échanges devraient rester très minces et les mouvements limités alors que les places d'Euronext fermeront leurs portes à 14h00 et que Londres clôturera à 13h30. Dans le reste de l'Europe, les Bourses de Francfort, de Milan et de Zürich sont déjà fermées.
Sachant qu'il n'y a pas grand-chose à signaler du côté des valeurs et des indicateurs économiques, les rares Bourses européennes qui resteront ouvertes à la veille de Noël devraient tranquillement naviguer dans un contexte de faible volatilité.
Les investisseurs ont clairement bouclé leurs positions pour l'année et marquent une pause afin de digérer les bonnes performances enregistrées en 2025.
A une semaine de la fin de l'année, le CAC 40 parisien s'achemine vers un gain de près de 10%, une performance tout à fait correcte au vu de l'incertitude politique qui a pénalisé le climat des affaires dans l'Hexagone ces derniers mois.
C'est toutefois moins bien que le DAX ( 22%) ou le STOXX Europe 600 ( 16%), qui ont largement profité de l'éclaircie au niveau des perspectives économiques du Vieux Continent.
Les marchés d'actions ont fait preuve d'une étonnante résilience en dépit de l'instauration des nouveaux droits de douane américains, dont les effets sur la croissance et l'inflation sont finalement restés contenus.
La Bourse de New York va également évoluer en mode demi-séance aujourd'hui, avec une fermeture prévue à 13h00 (heure locale).
Wall Street, qui évolue à des plus hauts absolus, a le vent en poupe depuis l'annonce, la semaine dernière, d'un net ralentissement de l'inflation aux Etats-Unis de nature à justifier une poursuite de la détente monétaire de la Fed, après déjà trois baisses de taux ces derniers mois.
Le Dow Jones affiche pour l'instant un gain de près de 14% en 2025, le S&P 500 une progression de plus de 17% et le Nasdaq Composite une hausse de plus de 22%.
Les analystes s'attendent à une poursuite de la hausse en 2026 grâce à une croissance mondiale qui devrait demeurer solide, en dépit d'une configuration qui prend de plus en plus la forme d'un K, et à la poursuite des investissements dans l'IA, qui représentent désormais une part significative de l'activité économique.
Si les valorisations des actions restent élevées et qu'un grand degré d'optimisme est aujourd'hui intégré dans les cours, ce qui pourrait laisser de la place à une déception, les résultats de sociétés devraient continuer de progresser.
Sur le marché des changes, le dollar poursuit son mouvement baissier entamé au début de l'année et s'apprête à fini l'exercice en repli de 14% face à l'euro, qui flirte de nouveau avec le seuil de 1,18.
La bonne tenue des Bourses et quelques rééquilibrages de portefeuilles de fin d'année pénalisent le marché obligataire, avec un rendement des Treasuries à dix ans qui se tend vers 4,17%, au plus haut depuis trois mois.
Le Brent avance de 0,2% pour rester au-dessus de la barre des 62 dollars en raison de tensions actuelles entre les Etats-Unis et le Venezuela, mais le cours de référence, mais le cours de référence européen cède 18% cette année en raison des craintes récurrentes d'une offre surabondante.
Valeur refuge par excellence, l'or ne pâtit pas du climat d'appétit pour le risque et gagne encore 0,1% à 4 519,1 dollars, à des sommets historiques. Sur l'ensemble de l'année, le métal jaune devrait afficher des gains de l'ordre de 73%.
Vers 8h15, le contrat "future" sur l'indice CAC 40 - livraison janvier - recule d'environ 0,3% à 8 103,3 points, laissant entrevoir un début de séance étale, dans le prolongement de la tendance stable à l'oeuvre depuis maintenant quasiment un mois.
Nombre d'intervenants de marché étant déjà partis en vacances, les volumes d'échanges devraient rester très minces et les mouvements limités alors que les places d'Euronext fermeront leurs portes à 14h00 et que Londres clôturera à 13h30. Dans le reste de l'Europe, les Bourses de Francfort, de Milan et de Zürich sont déjà fermées.
Sachant qu'il n'y a pas grand-chose à signaler du côté des valeurs et des indicateurs économiques, les rares Bourses européennes qui resteront ouvertes à la veille de Noël devraient tranquillement naviguer dans un contexte de faible volatilité.
Les investisseurs ont clairement bouclé leurs positions pour l'année et marquent une pause afin de digérer les bonnes performances enregistrées en 2025.
A une semaine de la fin de l'année, le CAC 40 parisien s'achemine vers un gain de près de 10%, une performance tout à fait correcte au vu de l'incertitude politique qui a pénalisé le climat des affaires dans l'Hexagone ces derniers mois.
C'est toutefois moins bien que le DAX ( 22%) ou le STOXX Europe 600 ( 16%), qui ont largement profité de l'éclaircie au niveau des perspectives économiques du Vieux Continent.
Les marchés d'actions ont fait preuve d'une étonnante résilience en dépit de l'instauration des nouveaux droits de douane américains, dont les effets sur la croissance et l'inflation sont finalement restés contenus.
La Bourse de New York va également évoluer en mode demi-séance aujourd'hui, avec une fermeture prévue à 13h00 (heure locale).
Wall Street, qui évolue à des plus hauts absolus, a le vent en poupe depuis l'annonce, la semaine dernière, d'un net ralentissement de l'inflation aux Etats-Unis de nature à justifier une poursuite de la détente monétaire de la Fed, après déjà trois baisses de taux ces derniers mois.
Le Dow Jones affiche pour l'instant un gain de près de 14% en 2025, le S&P 500 une progression de plus de 17% et le Nasdaq Composite une hausse de plus de 22%.
Les analystes s'attendent à une poursuite de la hausse en 2026 grâce à une croissance mondiale qui devrait demeurer solide, en dépit d'une configuration qui prend de plus en plus la forme d'un K, et à la poursuite des investissements dans l'IA, qui représentent désormais une part significative de l'activité économique.
Si les valorisations des actions restent élevées et qu'un grand degré d'optimisme est aujourd'hui intégré dans les cours, ce qui pourrait laisser de la place à une déception, les résultats de sociétés devraient continuer de progresser.
Sur le marché des changes, le dollar poursuit son mouvement baissier entamé au début de l'année et s'apprête à fini l'exercice en repli de 14% face à l'euro, qui flirte de nouveau avec le seuil de 1,18.
La bonne tenue des Bourses et quelques rééquilibrages de portefeuilles de fin d'année pénalisent le marché obligataire, avec un rendement des Treasuries à dix ans qui se tend vers 4,17%, au plus haut depuis trois mois.
Le Brent avance de 0,2% pour rester au-dessus de la barre des 62 dollars en raison de tensions actuelles entre les Etats-Unis et le Venezuela, mais le cours de référence, mais le cours de référence européen cède 18% cette année en raison des craintes récurrentes d'une offre surabondante.
Valeur refuge par excellence, l'or ne pâtit pas du climat d'appétit pour le risque et gagne encore 0,1% à 4 519,1 dollars, à des sommets historiques. Sur l'ensemble de l'année, le métal jaune devrait afficher des gains de l'ordre de 73%.