Les secouristes du Cap risquent leur vie à chaque intervention dans les bidonvilles gangrénés par la violence. Appelées dans l'une des 16 "zones rouges", les ambulances doivent être escortées par la police.
Au Cap, les ambulanciers "prient" avant d'intervenir dans les quartiers chauds

0 commentaire
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement