La crise n'impacte pas la cote immobilière de la capitale azuréenne. En avril, nouveau record pour les appartements anciens de Nissa la Bella, désormais à hauteur de 5 100 €/m2. Ces prix moyens cachent toutefois de grands écarts, les pépites du Carré d'or, des collines de Cimiez et de Fabron étant cédées deux fois plus cher, au-delà de 10 000 €/m2.
Si ces valeurs sont au beau fixe, une météo plus maussade a stoppé net les transactions en fin d'année dernière – des baisses de 20 % chez divers agents et des délais de vente rallongés d'une dizaine de jours –, avant que les nuages se dissipent début 2024 à la faveur d'une légère baisse des taux d'emprunt. « Le marché niçois a connu un coup de frein au dernier trimestre mais rien de catastrophique. Les fréquentes renonciations de primo-accédants ont été compensées par des clients étrangers et seniors pouvant payer cash », résume Jérôme Ugo, de Laforêt Immobilier. « Malgré cette embellie, nous ne sommes pas encore sortis de la crise », tempère Isabelle Poiraud, de Stéphane Plaza Immobilier.
Pourquoi votre taxe foncière va (encore) augmenter en 2024Cet à-coup momentané n'a pas franchement inversé un rapport de force toujours favorable aux vendeurs. « L'attentisme règne des deux côtés. Les acheteurs sont là, les vendeurs rechignent à baisser leur prix. La rigidité de ces derniers varie selon leur projet : certains, ayant
... Source LePoint.fr
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