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Immobilier locatif : le top 10 des villes où investir
information fournie par Mingzi29/08/2019 à 10:10

Immobilier locatif : le top 10 des villes où investir (Crédit photo: Fotolia)

Immobilier locatif : le top 10 des villes où investir (Crédit photo: Fotolia)

Quelles sont les villes à privilégier pour un investissement locatif ? Le baromètre LPI-SeLoger donne son classement des 10 villes où il est urgent d'investir.

1- Toulouse

Le baromètre LPI-SeLoger place la ville de Toulouse au premier rang du classement des villes où investir. Le prix moyen du m² y est très raisonnable pour une ville de sa taille (presque 500 000 habitants) à 3 382 € le m². Les prix ont augmenté de 6% en un an. Avec la mise en place de la LGV (ligne à grande vitesse) et un dynamisme tant économique (aéronautique, recherche) que démographique (5 620 nouveaux habitants par an), la ville attire de plus en plus. Par ailleurs, Toulouse compte environ 100 000 étudiants qui sont autant de locataires potentiels. Selon le baromètre, les quartiers à privilégier pour un investissement locatif sont l'hyper-centre, le quartier de la Croix de Pierre et le secteur de Rangueil.

2- Nantes

Nantes arrive en deuxième position du classement LPI-SeLoger. En raison des prix devenus très élevés à Bordeaux (plus de 4 600 € le m²), les investisseurs se rabattraient sur Nantes où les prix sont plus modérés (3 475 € le m² en moyenne). Ceux-ci ont augmenté de 6,3% en un an, sous la pression d'une demande de plus en plus forte, notamment dans l'hyper-centre. De plus en plus d'investisseurs se tourneraient vers les maisons, prisées des familles et des personnes à la recherche d'une colocation. Selon le baromètre, les quartiers à privilégier sont l'hyper-centre même si le marché y devient très concurrentiel du fait du déséquilibre entre l'offre et la demande, et le Hauts-Pavés - Saint-Félix, le quartier des étudiants et des jeunes actifs.

3- Lille

Lille occupe la troisième place du classement. L'immobilier y reste accessible (3 224 € le m² en moyenne) pour ce type de ville. Lille attire les investisseurs du fait de son dynamisme économique, son pôle étudiant et sa géographie. Proche de Paris (un peu plus d'une heure de TGV), la ville est également proche d'autres grandes villes européennes. Selon le baromètre LPI-SeLoger, les quartiers à privilégier sont le quartier Vauban et les environs des gares (Lille-Flandres et Lille-Europe).

4- Lyon

Avec un prix moyen du m² à 4 817 €, Lyon est la deuxième ville de province la plus chère. Néanmoins, selon le baromètre, Lyon est une valeur sûre. Les prix y ont augmenté de 6,3% sur un an. Avec des tarifs aussi élevés, investir dans l'immobilier à Lyon relèverait plus de l'investissement patrimonial que de l'investissement locatif et intéresserait donc plutôt les investisseurs à la recherche d'une plus-value que d'un rendement régulier. Selon le baromètre, l'ensemble du marché lyonnais est globalement adapté à l'investissement immobilier, mais les secteurs de Bron, la Part-Dieu, Gerland et le 9ième arrondissement offriraient également de belles opportunités.

5- Rennes

Le marché locatif à Rennes est surtout concentré sur les studios du fait de la très forte densité d'étudiants dans la ville : un habitant sur trois y suit des études supérieures. Le prix moyen du m² se négocie autour de 3 490 € et les prix sont en forte augmentation (+ 9,5% sur un an). Selon le baromètre LPI-SeLoger, il convient de privilégier l'hyper-centre.

6- Angers

La sixième place de ce classement LPI-SeLoger revient à la ville d'Angers. L'immobilier y est très accessible (2 288 € le m² en moyenne) et les prix sont en forte hausse (+ 7,1% sur un an) bien que la ville ne soit plus éligible au dispositif Pinel. Selon le baromètre, la demande locative y est importante (20% de la population est composée d'étudiants) et la rentabilité locative irait de 5% à 7% brut. De plus, la ville n'est qu'à 1h40 de Paris grâce à la LGV. Les quartiers à privilégier pour un investissement locatif restent les petites superficies du centre-ville ainsi que les secteurs de la ligne B du tramway qui reliera Belle-Beille et Monplaisir via l'hyper-centre d'Angers.

7- Montpellier

La septième place du classement revient à la très prometteuse ville de Montpellier. La croissance des prix immobiliers y est modérée mais continue (+ 3% en un an) et les prix y sont accessibles (3 089 € le m² en moyenne). La ville bénéficie d'une économie dynamique, d'une démographie en forte augmentation et attire les étudiants et les jeunes actifs dans le secteur de la recherche. Les quartiers à privilégier sont le centre ville bien sûr, ainsi que le quartier Hôpitaux-Facultés.

8- Tours

À Tours, le marché des petites surfaces (du studio au T2) est très actif. Le prix moyen du m² (2 422 €) est inférieur à la moyenne nationale (3 689 € le m² pour un appartement ancien), ce qui permet aux investisseurs d'optimiser le rendement locatif. Selon le baromètre LPI-SeLoger, les quartiers à privilégier sont l'hyper-centre et les alentours de l'hôpital Bretonneau et de la place Plumereau.

9- Poitiers

Selon le baromètre, le marché immobilier à Poitiers profiterait des prix devenus élevés à Nantes et à Bordeaux, voire à Paris. Les prix de l'immobilier y ont augmenté de 4,8% en un an, mais restent très accessibles (2 060 € le m² en moyenne). La ville est située à mi-chemin de Bordeaux et de Paris en TGV (moins de 2h). Les quartiers à privilégier seraient Le Plateau, Chilvert, la Gibauderie, les Prés-Mignons, Poitiers-Sud et de la gare de Poitiers.

10- Strasbourg

À moins de deux heures de Paris, le marché strasbourgeois bénéficie d'une une forte demande locative (étudiants) et d'une population en forte croissance. Selon LPI-SeLoger, les prix y sont abordables pour ce type de ville (3 030 € le m² en moyenne) et en croissance modérée (+ 3,1% sur un an). Les quartiers à privilégier seraient le coeur de ville (étudiants et jeunes actifs) et le quartier Robertsau-Wacken (fonctionnaires européens).

4 commentaires

  • 30 août14:07

    Pour les soit disant rentiers, c'est la dech http://www.clameur.fr/var/clameur/storage/images/Presse%2BS1%2B2019%2Bsite.pdf Page 14 « Sur un marché baigné d'incertitudes, l'effort d'amélioration et d'entretien des logements (les relocations après travaux) a de nouveau reculé en 2018, pour s'établir à 13.3 %, le plus bas niveau que CLAMEUR a observé depuis 1998. » 24,8% avant arrivée Hollande


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