
Le Revenu a étudié le marché immobilier toulousain. (© DR)
De nombreux locataires, 5.000 habitants en plus chaque année : le marché toulousain était bien orienté avant la crise. Découvrez les quartiers qui montent, ceux dans lesquels les prix sont déjà (très) élevés ainsi que des détails sur quelques communes limitrophes.
Le marché toulousain confirme sa montée en puissance amorcée il y a deux ans. Les prix progressent d’année en année mais sans excès et sur toute la ville. Les ventes se faisaient facilement jusqu’au début du printemps.
La crise du Covid-19 a stoppé le marché comme partout ailleurs (retrouvez nos articles sur Paris, Bordeaux, Lyon, Rennes, Lille et Strasbourg). Mais Toulouse a des atouts qui devraient perdurer une fois ce terrible épisode terminé. L'évolution du secteur aéronautique, gros employeur de la région et sévèrement touché par la crise, est toutefois à surveiller de près.
La ville rose accueille plus de 5.000 de nouveaux habitants par an sans compter les 15.000 nouveaux étudiants qui arrivent à chaque rentrée. Ces chiffres expliquent le dynamisme de la demande.
Jusqu'à 7.000 euros le m2«Avant la crise, le marché était très tendu comme il l’avait rarement été, notamment dans l’hyper centre et le centre historique, explique Éric Massat, gérant de Domicilium. Il y a beaucoup d’arrivants et peu qui partent.»
Le marché se complique pour les petites surfaces. Car les prix sont passés, en cinq ans, de 4.000 à 5.000 euros, en moyenne ! «6.000 à 7.000 euros le mètre carré ce n’est plus rare», commente Éric Massat. Et d'ajouter : «Pour les grandes surfaces, la hausse a été moins importante.» On observe aussi de fortes disparités selon les zones
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