Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de courtage
Découvrir Boursomarkets
Fermer

Automobile : 30% des Français envisagent d'acheter une électrique, selon un sondage
information fournie par Boursorama avec Media Services 20/10/2022 à 08:50
Temps de lecture: 1 min

Seulement 12% des Français se disent "attachés" au véhicule thermique.

( AFP / DENIS CHARLET )

( AFP / DENIS CHARLET )

Près du tiers (30%) des Français envisage d'acheter une voiture électrique et plus de la moitié (54%) une hybride, selon un sondage publié jeudi 20 octobre par l'institut Odoxa.

Au-delà du coût (72%), le manque d’autonomie (53%) et de bornes de recharge (37%) constituent les principaux freins à l'achat d’une voiture électrique, d'après ce sondage réalisé pour les cabinets Kea and Partners et Mascaret (ex-Dentsu Consulting), le journal Stratégies , BFM Business et l'Usine Digitale .

Seulement 12% des Français se disent "attachés" au véhicule thermique . Pour 63% d'entre eux, le véhicule à hydrogène, encore marginal à l'heure actuelle, est aussi perçu comme une alternative sérieuse aux véhicules thermiques.

Les objectifs de la France atteignables

"Cela implique qu'avec les bonnes infrastructures (disponibilités des bornes de recharges), les bonnes technologies (meilleure autonomie des batteries) et des incitations financières, la France peut atteindre ses ambitions pour limiter les émissions liées aux usages des véhicules automobiles ", souligne Fabrice Catala, associé du groupe Kea.

Si les voitures sont de plus en plus chères à l'achat et à l'usage, seuls 22% des Français se disent prêts à ne plus posséder de voiture.

La moitié des salariés interrogés travaillent dans une entreprise qui encourage des mobilités plus éco-responsables, que l'on parle de vélo ou de covoiturage. 19% des salariés se sont vu proposer un forfait mobilités durables.

Cette enquête a été réalisée par internet début octobre auprès d’un échantillon de 1.000 Français et 304 professionnels des technologies, du numérique et de l’innovation, selon la méthode des quotas.