Ils ont été validés, Jean-Luc Mélenchon et les Insoumis le martèlent. Et pourtant. Des éléments des comptes de campagne du candidat insoumis à la présidentielle posent question. Notamment des cas de recours ? très généreux ? à la sous-traitance, comme le révèle mercredi Franceinfo. D'Emmanuel Macron à François Fillon en passant par Benoît Hamon ou Marine Le Pen..., tous les candidats à la présidentielle ont directement salarié un certain nombre de membres de leur équipe de campagne. Tous, sauf Jean-Luc Mélenchon.
Là où Benoît Hamon, Emmanuel Macron et Marine Le Pen ont respectivement dépensé 1,3 ; 1,7 et 2,4 millions d'euros pour rémunérer leurs équipes via leur association de campagne, le candidat Melenchon n'a, lui, versé que 7 959 euros. C'est moins que François Asselineau ou Jacques Cheminade. En effet, l'Insoumis a préféré salarier une partie de ses équipes dans des structures extérieures... gérées par des proches. Notamment une association et une société, soupçonnées d'avoir surfacturé des prestations. Jean-Luc Mélenchon est aussi épinglé pour avoir eu recours à des auto-entrepreneurs. Selon Franceinfo, une dizaine de personnes ont été payées en honoraires via des sociétés créées pour la campagne, puis fermées ensuite.
Plus-value inexpliquée
Fondée par l'ancien directeur de campagne de Mélenchon, Laurent Maffeïs, et les actuels députés insoumis Mathilde...
0 commentaire
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer