
Top 10 : ces causeries qui foutent la honte
Cris s’est distingué de la pire des manières en se lançant dans une causerie aux relents misogynes dans le vestiaire de Châteauroux. Que les coachs s’inspirent de cet exemple pour arrêter les discours basés sur le virilisme et que les CM cessent enfin de publier chaque prise de parole de leur entraîneur. Voilà ce qu’il faut éviter pour ne pas se rater.
→ La bavure du policier
Dernier de National avec Châteauroux, Cris doit se creuser la tête afin de trouver les meilleurs stratagèmes au moment de motiver ses joueurs. L’ancien défenseur central de l’OL est un adepte de l’aboiement, mais il a choisi une autre façon d’exciter son groupe avant un match décisif sur la pelouse de QRM : enchaîner les métaphores sexuelles et surtout douteuses. « Quand vous allez en boîte pour retrouver une fille, tu regardes la fille, tu as envie de la niquer. C’est ça aujourd’hui. On doit regarder en face pour les niquer. Entre nous, on doit les niquer aujourd’hui » , a-t-il théorisé, premier degré façon The Office , dans le vestiaire. Pas très 2025 ? Pas grave, il fonce tête la première en montrant son avant-bras contracté : « La bite, elle doit être comme ça. Je vous le dis, la bite, elle doit être comme ça. » Pari réussi, la Berrichonne s’impose en Normandie, mais la publication de la causerie lunaire sur les réseaux sociaux du club fait, depuis mardi, scandale. On n’aimerait ni être le community manager croisant les doigts pour garder son travail ni un joueur qui doit se forcer pour ne pas rire, et encore moins une femme croisant Cris en boîte de nuit.
@so_foot 😲 Il a craqué Cris : « La 🍆 elle doit être comme ça aujourd’hui » #footballtiktok #sportstiktok #chateauroux #CapCut ♬ son original - SO FOOT→ Only gode can judge Ilzer
Vous aimez les références sexuelles de mauvais goût ? Après Cris, voici Christian Ilzer, entraîneur du TSG Hoffenheim. En décembre dernier, pour son premier match à la tête du club qu’il doit maintenir en Bundesliga, l’Autrichien se serait présenté dans le vestiaire vêtu d’un tablier et coiffé d’une toque à quelques minutes du coup d’envoi face à Fribourg. Surtout, selon SportBild , il aurait tenu un godemichet à bout de bras en lançant à ses nouveaux joueurs qu’ils devaient « être aussi durs que ça » . Si Hoffenheim est sorti de la zone rouge, c’est peut-être grâce aux discours de ce coach puisqu’il se serait aussi distingué en sortant des piments pendant une ca
Par Enzo Leanni pour SOFOOT.com
Lire la suite de l'article sur SoFoot.com
0 commentaire
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer