Lettre ouverte à la France, à l'Agence européenne du médicament et à l'OMS
À la suite de nombreux décès au décours de la vaccination anti-Covid par le vaccin AstraZeneca, une forte suspicion de la dangerosité des vaccins, particulièrement celui du consortium britanno-suédois, a prospéré dans un monde déjà très réfractaire à la vaccination. La réponse apportée par les autorités sanitaires de certains pays, dont la France, et les agences internationales de santé telles l'AME (Agence européenne des médicaments) et l'OMS (Organisation mondiale de la santé) consista à minimiser le lien de causalité entre ces décès ou complications graves et l'injection de ce sérum issu d'une technologie naissante sans aucun recul indispensable (le vaccin a été suspendu par de nombreux pays européens, dont la France, NDLR).
Par des arguments scientifiques éprouvés, je voudrais expliquer à ces autorités qui ont la lourde responsabilité de maintenir en bonne santé les populations mondiales que certains de ces cas malheureux ne peuvent pas être du fait du hasard, mais bel et bien de la iatrogénie. Au passage, les dix pays (dont un pays africain) ayant revu leur approche vaccinale n'ont fait que respecter le sacro-saint principe « primum non nocere ». Avant d'aborder lesdits cas implacablement dus à la vaccination, il est important d'expliquer les notions de risque global (dans une population générale) et le risque individuel à
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