
En Ligue des champions, le soir du quart d'heure de gloire
Du Barça au PSG, en passant par Arsenal et le PSV, sans oublier l'Inter, ces équipes ont parfaitement géré leur temps fort, ce mardi soir, pour faire exploser leur adversaire. Un quart d'heure de gloire qui suffit à changer la face d'un match.
Le Paris Saint-Germain, l’Inter, Arsenal, le PSV et le FC Barcelone. Hormis pour les trois premiers, ce n’est pas l’ordre du top cinq du classement de cette phase de Ligue des champions avant les affiches de ce mercredi soir, mais ces équipes sont toutes reliées par autre chose : le momentum. Autrement dit le tournant du match, ce moment où ces clubs ont remporté leurs batailles, bien avant le coup de sifflet final, en crucifiant leurs adversaires en un quart d’heure à peine : 4 buts en l’espace de « douze » minutes pour les Parisiens (si on comprend celui de Nuno Mendes après les citrons) ; le même nombre de réalisations en 11 et 13 minutes pour le Barça et Arsenal ; 3 pions en 9 minutes pour le PSV et le même tarif en 13 minutes pour l’Inter. Vite fait, bien fait.
Selon l’étude Temporal Dynamics of goal scoring in soccer , publiée en début d’année et se basant sur plus de 3 400 matchs de 21 ligues différentes, la même équipe ou le même joueur est davantage susceptible de marquer à nouveau peu après un premier but. Ce sont les « dynamics of the burst »; la « dynamique de la rafale » appliquée par Désiré Doué ce mardi qui, quelques minutes après avoir été sonné d’un K.O de Robert Andrich, a inscrit un doublé en sept minutes. Ce qui a permis au PSG d’éteindre la BayArena, en plus du pion inscrit par Khvicha Kvaratskhelia et celui de Nuno Mendes, parachevant le momentum parisien.…
Par Kevin MBUNDU pour SOFOOT.com
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