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Toulouse : elle continue de toucher le RSA alors qu'elle a déménagé pour travailler à l'étranger
information fournie par Boursorama avec Newsgene 25/08/2022 à 14:35

La trentenaire sera jugée en juin 2023 pour sa fraude aux prestations sociales. (Photo d'illustration) (Mabel Amber / Pixabay)

La trentenaire sera jugée en juin 2023 pour sa fraude aux prestations sociales. (Photo d'illustration) (Mabel Amber / Pixabay)

Une femme de 30 ans a été entendue mardi 23 août par les policiers à Toulouse (Haute-Garonne) pour une fraude aux aides sociales. Elle est soupçonnée d'avoir continué à toucher le RSA de mars 2018 à octobre 2020 alors qu'elle avait quitté l'Hexagone pour travailler dans un pays du Golfe persique. Montant du préjudice pour la Caf : 11 000 €.

Plus de deux ans de fraude encore mise au jour. Une femme de 30 ans a été auditionnée mardi 23 août à Toulouse (Haute-Garonne) pour une fraude présumée aux prestations sociales. Elle aurait en effet touché le revenu de solidarité active (RSA) pendant plusieurs années alors qu'elle travaillait… à l'étranger, rapporte La Dépêche .

Elle touche indûment 11 000 € d'allocations

La trentenaire a demandé à toucher le RSA en 2017 et, après validation, a commencé à toucher un peu plus de 500 € chaque mois. Mais l'année suivante, elle a quitté la France pour s'installer dans un pays du Golfe persique où elle avait décroché un emploi. Elle n'a rien déclaré à la Caisse aux allocations familiales (Caf).

Entre mars 2018 et octobre 2020, la Toulousaine a ainsi touché le RSA alors qu'elle n'y avait normalement plus droit. Montant estimé du préjudice pour la Caf : 11 000 €. Lors de son audition, elle a reconnu les faits et sera jugée le 5 juin 2023 dans le cadre d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité.

Les escroqueries aux prestations sociales représentent plus de deux milliards d'euros chaque année. À la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf), 700 contrôleurs sont chargés en permanence d'identifier les erreurs et les fraudes, qui représentent 3 % des prestations versées.

23 commentaires

  • 26 août 12:39

    Pas la peine de mettre des contrôleurs on a juste à être moins généreux et ils ne viendront plus


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