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Et si vous vous faisiez de l’argent en vendant vos données personnelles ? Bien que controversé, ce marché attire de plus en plus d’entrepreneurs et de jeunes étudiants, à la recherche de nouvelles sources d’argent. Zoom sur ce nouveau type de petit boulot.
Monétiser ses données personnelles - iStock-martin-dm
L’émergence de nouvelles applications
Avez-vous déjà entendu parler des applications TaData, WeWard, Vazee ou SweatCoin ? Ce type d’applications est en plein boom et permet de gagner un petit peu d’argent en vendant des informations personnelles. Selon Ogury, la majorité de ces applications sont utilisées par des femmes, et le public est jeune, avec 60 % des usagers ayant moins de 35 ans. Quelles sont tes habitudes de consommation ? Tel est le business de TaData : proposer des formulaires marketing à une cible très jeune, ayant entre 15 et 25 ans. Le type de contenu ? Répondre à des questions sur les styles de musique préférées, quel électroménager l’usager souhaite acheter, etc., pour la modique somme de 15 euros. L’application qui réunit aujourd’hui près de 4 500 utilisateurs ne rougit pas de son fonctionnement. A l’inverse des géants de l’internet, TaData met au-devant de la scène la nécessité de rémunérer les données des utilisateurs. Le co-fondateur Alexandre Vanadia explique : « Des milliers de jeunes sont vendus à leur insu par diverses applications et les géants du web. Il paraît inconcevable que la matière première d’une économie, la donnée personnelle, ne soit pas rémunérée ». Mais alors, à qui sont vendues ces données ? Principalement des banques, acteurs de la téléphonie ou distributeurs. Et si tu marchais pour gagner de l’argent ? Avec WeWard, le pitch est bien différent. Certes, les utilisateurs gagnent de l’argent en marchant, mais c’est surtout les données de géolocalisation et l’activité physique des utilisateurs qui sont intéressantes pour les créateurs de l’application. Elles seront ensuite vendues aux commerçants partenaires, qui pourront mieux cibler leurs clients. En échange, les utilisateurs reçoivent des points à convertir en bons d’achats.
Quels dangers associés à la vente des données ?
La prolifération de ce type d’applications n’est pas forcément bien vue par tout le monde. Olivier Ertzcheid, maître de conférence en sciences de l’information, considère l’application TaData comme étant « une entreprise de data prostitution pour mineurs ». En effet, les applications incitent aussi les jeunes à vendre leurs informations personnelles alors qu’ils n’ont pas été sensibilisés à l’importance de celles-ci et au danger de les partager. D’autres voient d’un mauvais œil ces nouveaux petits jobs transformant tout usager « en travailleur du clic précaire », selon le sociologue Antonio Casilli. Le risque ? Agrandir l’écart entre les riches et les pauvres, avec d’un côté les riches prêts à payer pour protéger leurs données et de l’autre, les pauvres, incités à les vendre pour très peu. Ces applications soulèvent la question de la protection des données, qui représentent, dans une économie basée sur le développement numérique, « la nouvelle matière première », selon Maxime Sbaihi. De nombreux business model de la tech se fondent sur un accès gratuit au service en échange de l’exploitation des données personnelles.
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
@HaggarDuNord Pierre Bergé dit cela aussi : "Moi, je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l'usine, quelle différence ? C'est faire un distinguo qui est choquant.". Sauf qu'il n'a fait ni l'un ni l'autre !
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