
Depuis le 1er décembre les agences immobilières ont rouvert leurs portes et les visites de logements sont à nouveau possibles. Les restrictions dues à la crise sanitaire gênent tout de même le bon fonctionnement du secteur. (© Shutterstock)
La détérioration de la conjoncture rend la sélection des locataires plus critique. Avec une réglementation plus pesante, Le Revenu vous conseille pour réussir une mise en location malgré la crise.
La mise en location d’un logement, que ce soit pour la première fois, pour un renouvellement de bail ou à l’occasion d’une relocation, est toujours un moment sensible.
Elle le devient encore plus pendant une crise sanitaire qui conduit à des périodes de confinement et des restrictions sur la mobilité des personnes et sur le maintien de certaines activités en présentiel. Car l’immobilier est une activité de terrain, qui exige pour l’essentiel d’être physiquement présent.
Les bailleurs, qui ont eu un locataire donnant congé et libérant un logement à un moment où il n’était pas possible d’organiser des visites pour trouver un nouveau locataire, ont dû faire face à une contrainte supplémentaire. Le propriétaire doit en outre bien connaître la réglementation et les contraintes administratives, devenues très pesantes.
Dans les zones tendues, même si la demande locative peut excéder l’offre, comme dans la capitale ou les centres des très grandes villes, une mise en location mal préparée peut déboucher sur un départ rapide des nouveaux occupants, qui partiront dès qu’ils auront trouvé mieux ailleurs.
Carte intéractiveCette rotation inutile aurait des suites, avec la remise en état du bien, le nouveau versement d’honoraires à un intermédiaire professionnel le cas échéant, ou les frais divers (parution d’annonces, etc.). Si vous gérez en direct,
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