Les convives de ces discrètes agapes sont repartis avec la conviction que l'affaire était entendue. « Lors d'un dîner, il y a quelques mois, François nous a demandé si Michèle [Laroque, sa compagne, NDLR] pourrait continuer ses spectacles s'il devenait président de la République. La réponse est non, bien sûr ! Le simple fait qu'il pose cette question montre qu'il n'a pas le feu sacré. Pour l'Élysée, il faut être prêt à tout sacrifier », témoigne un invité, qui rappelle le précédent Carla Bruni, contrainte de mettre sa carrière de chanteuse entre parenthèses durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy.
À en croire des fidèles du maire de Troyes (Aube), l'été n'a fait qu'accentuer ses interrogations sur la pertinence de se lancer à l'assaut de la prochaine présidentielle. Tous le disent : la probabilité qu'il se lance est désormais « proche de zéro ». « S'il n'a pas envie en juillet, il n'aura pas envie en septembre ! » : cette remarque aigre-douce de Nicolas Sarkozy en cénacle restreint et l'étrange tango que danse l'ancien président avec son jeune successeur, Emmanuel Macron, l'auraient en particulier convaincu que l'aventure était des plus périlleuses. « François n'a pas envie de se retourner et de s'apercevoir qu'il n'y a personne derrière lui. Il sait très bien que Sarkozy ne sera pas forcément un allié. Il voit son attitude avec Macron, les déclarations de Christian Estrosi… » confie un proche de
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