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Olaf Scholz en Ukraine sur fond de craintes d'une invasion russe
information fournie par Reuters 14/02/2022 à 08:49

SCHOLZ EN UKRAINE SUR FOND DE CRAINTES D'UNE INVASION RUSSE

SCHOLZ EN UKRAINE SUR FOND DE CRAINTES D'UNE INVASION RUSSE

BERLIN (Reuters) - Le chancelier allemand, Olaf Scholz, se rend lundi en Ukraine pour rencontrer le président Volodimir Zelenski afin de montrer la solidarité de Berlin avec Kiev et d'aider à éviter une guerre en Europe, alors que les craintes d'une invasion russe se renforcent.

Ce déplacement intervient huit jours après une visite du président français, Emmanuel Macron, dans le cadre des efforts entrepris pour tenter de prévenir un conflit armé.

Olaf Scholz se rendra mardi à Moscou pour s'y entretenir avec le président russe Vladimir Poutine.

Le chancelier allemand, qui a pris ses fonctions en décembre, a accru son engagement dans la crise ukrainienne ces derniers jours, après avoir été accusé de manquer de leadership et d'envoyer des signaux contradictoires alors que l'Europe fait face à la plus importante crise de sécurité à laquelle elle ait été confrontée depuis des décennies.

Olaf Scholz a déclaré dimanche à des journalistes que le fait que Moscou ait massé plus de 100.000 soldats près des frontières de l'Ukraine représente une "menace extrêmement sérieuse".

La Russie dit ne pas avoir d'intention belliqueuse envers son voisin, mais a prévenu qu'elle prendra des mesures "militaires techniques" non spécifiées si les Occidentaux ne répondent pas favorablement à sa liste de demandes - dont la garantie que l'Ukraine ne rejoindra jamais l'Otan et que cette dernière retire ses troupes d'Europe de l'Est.

Une source gouvernementale allemande a indiqué dimanche qu'Olaf Scholz et Volodimir Zelenski évalueraient leur position après les discussions au "format Normandie" qui se sont tenues la semaine dernière entre les représentants de l'Ukraine, de la Russie, de la France et de l'Allemagne, et la manière dont ils pourraient faire progresser le dialogue.

La source a déclaré qu'un moratoire sur une éventuelle entrée de l'Ukraine dans l'Otan ne faisait pas partie de la "boîte à outils" du chancelier.

(Reportage Andreas Rinke et Sarah Marsh; version française Camille Raynaud)

11 commentaires

  • 14 février 09:51

    on de la chance qd meme vu notre mix choisit pour la transition ecologique par rapport à l Allemagne par contre on doit sortir à tout prix de cette fixation du prix de l electricité au niveau européen , les fluctuations du prix du gaz ne doivent plus nous toucher , on est pas concerné par ce type de production à partir du gaz ...


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