« J’ai cofondé il y a plus de dix ans SatisFactory, une entreprise de logiciels qui analyse les feed-back des clients sur Internet, tels que leur satisfaction ou non sur les réseaux sociaux, etc. J’en suis le président et le directeur commercial. Quand le confinement est arrivé au début de l’année 2020, le télétravail était déjà dans les gènes de ma société, qui est basée à Paris et emploie une trentaine de collaborateurs.
Le télétravail simplifie la vie des employés qui habitent en première ou deuxième couronne de la capitale et peuvent avoir entre 45 minutes et 1 h 30 de transport en commun pour se rendre à leur travail. Avant le Covid-19, on pouvait faire une journée de télétravail par semaine en prévenant le plus tôt possible. Nous avions donc les outils pour travailler à distance. « Le flicage casse la dynamique positive du télétravail »
De nouveaux clients par écrans interposés
Le principal changement pour notre société avec la pandémie, c’est surtout l’absence de contact physique avec nos clients. Nos deux derniers clients, on ne les a jamais vus autrement que par écrans interposés. Cela fait bizarre, et c’est moins sympa qu’une rencontre en vrai, qui permettait des discussions informelles. On utilise les logiciels Teams ou Zoom pour les réunions. Certains préfèrent Skype. C’est courant de perdre du temps en visioconférence. Les problèmes de connexion font partie des petites
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